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dimanche 4 mai 2025 - 05:29

En Argentine, colère contre la réforme des retraites

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7 Commentaires

  1. Les peuples du monde entier vont être délivré du fardeau de la dette.
    Les fardeaux de la dette ce sont les assistés qui ne veulent pas se prendre en charge et/ou qui surconsomment.
    Pas de pitié, zéro compassion pour ces gens parce qu’ils ne le méritent pas.
    Faut relativiser leur départ, le corps n’est qu’un véhicule terrestre servant à expérimenter…

    Je ne pense pas que les mammifères ont écrasé une larme quand les dinosaures ont subitement disparu, ou alors une grosse larme de JOIE (délivraaaaaance, les tyrans sont partis ENFIN!!)

    L’avenir est un long passé….

  2. LA FRANCE AVEC 18 MILLIONS D’ACTIFS , 20 MILLIONS DE Retraités et bien nous sommes déjà dans cette situation catastrophique. Quand tu donnes aux vieux et bien les salaires baissent pour les actifs. CATASTROPHE A VENIR

  3. Là on parle de repousser l’âge de départ à 70 ans pour une espérance de vie bien moindre qu’en France.

    Et cette dernière n’a progressé que de 10 ans en 60 ans là où elle a augmenté de 15 ans en France.

  4. Pauvre peuple argentin laminé par un siècle d’obsession socialo-collectiviste menée jusqu’à l’absurde. Qui se souvient que l’Argentine était plus riche et prospère que les USA il y a un peu plus d’un siècle ? Un siècle plus tard, on voit le résultat de la mauvaise politique : pauvreté, dettes, chômage, faillite, corruption, déclassement, émeutes…

    Nous avons sous les yeux un parfait exemple de système de retraite par répartition qui va finir en faillite après une longue et douloureuse phase de pénurie, comme n’importe quel autre système collectiviste. Comme en France, ce système égalitaire en apparence est profondément perverti par l’existence de régimes spéciaux injustes, extrêmement favorables aux fonctionnaires notamment, pendant que la majorité de la population se partage les miettes du système, des miettes de plus en plus rares à mesure que la pénurie collectiviste s’étend.

    Le gouvernement argentin commet une grave erreur en voulant seulement réformer le système collectiviste. Le collectivisme partout où il existe mène inéluctablement à la faillite. Il ne peut pas être réformé et doit être supprimé purement et simplement, sans hésitation.

    En Argentine comme en France, il est indispensable de remplacer la retraite par répartition par la retraite par capitalisation, dès le premier euro cotisé.

    • Ca c’est de la propagande digne de Macron…En Suede où les caisses sont également vides le calcul est effectué sur la base de l’espérance de vie. En tant que tel la date de départ à la retraite est automatiquement indexé sur l’espérance de vie. Dans 20 ans les suédois prendront automatiquement la retraite a 75 ans minimum ! Car ce système est prévu pour verser la retraite durant 6 ans maximum !
      l’OCDE en conclue que le départ a 75 ans en France serait difficile étant donné que c’est le pays du MONDE où les séniors ont le taux d’emploi le plus faible….
      Il faut arrêter de sacraliser le système Suédois…..

      • Dans un vrai système par capitalisation, on se moque bien de l’espérance de vie ou de l’âge de départ à la retraite. Vous épargnez le temps que vous voulez puis vous dépensez ce que vous voulez tant que vous êtes solvable. Si vous n’êtes pas solvable, vous ne prenez pas votre retraite. Point barre. Si vous êtes solvable à votre décès, vos héritiers touchent votre retraite à votre place. Voilà, c’est aussi simple que ça. Vous vous débrouillez avec votre épargne, aucun pseudo-expert gouvernemental ou syndical ne vient vous imposer par abus de pouvoir à quel âge prendre votre retraite, ni comment, ni où, ni pourquoi, ni quand… Toutefois, rien ne vous empêche de participer à un système collectif sous forme d’assurance ou de fond commun pour partager les risques avec d’autres personnes dans la même situation que vous. Mais la grande différence avec le socialo-collectivisme, c’est que votre adhésion à cette assurance est strictement VOLONTAIRE. Donc libre. Or, comme l’Argentine le démontre par l’absurde une nouvelle fois, la liberté est la condition nécessaire et suffisante de la prospérité, tandis que l’absence de liberté mène tout droit à la misère. L’exemple argentin est un avertissement sans frais à la France collectiviste qui s’enfonce progressivement dans la même déchéance misérable, minable.

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