Durant mes études, je pensais que le libéralisme était la pire chose qui soit. Puis j’ai eu la chance de rencontrer un professeur libéral qui a complètement changé ma VISION du monde. J’ai compris que beaucoup de personnes étaient naïves en matière d’économie, moi le premier. Aujourd’hui on parle de plus en plus de Nouvel ordre mondial et du danger du neoliberalisme. J’espère que cette vidéo vous permettra non pas de devenir libéral mais surtout de réfléchir différemment de la foule et de réellement comprendre ce qu’est le libéralisme. Excellente vidéo et n’oubliez pas d’AGIR massivement les amis.
La parenthèse néolibérale se referme. Et c’est une bonne nouvelle ! Simone Wapler: Le travail ardu d’un grand planificateur omniscient
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Source: thamikabbaj – Voir les précédentes interventions de Thami Kabbaj
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Quelques 33% des revenus des français sont ponctionnés pour que l’État les redistribue à ceux qui n’ont pas les moyens de vivre un minimum normalement. Cela représente environ ~570 milliards d’euros par an.
C’est de l’argent VRAI contrairement à l’argent des bulles financières qui ruinent périodiquement et systématiquement les sociétés dans le monde. SANS LES PRODUCTEURS QUI PRODUISENT TOUS LES BIENS ET LES SERVICES RÉELS DANS LE MONDE DONT NOUS AVONS BESOIN À LA BASE, LA MONNAIE N’AURAIT AUCUNE VALEUR ET N’AURAIT PAS DE SENS.
Ces ~570 milliard ont été gagnés par la production d’objets et de services – réels-, donc ce n’est pas du néant comme l’est l’argent sorti de ce néant par la création monétaire des banques ayant le droit de créer la monnaie comme banques centrales et certaines banques commerciales.
Pour expliquer très vite, mais exactement, cette situation.
Disons que, rien que pour la France métropolitaine, ces quelques ~570 milliards d’euros par an ponctionnés sur l’ensemble des revenus nationaux (mais peu importe l’échelle) pour l’ensemble des aides sociales.
Si l’on divise ces ~570 milliards d’euros par 66 millions d’habitants, cela donne : 8636 euros PAR AN ET PAR PERSONNE, ce qui donne : 719 euros PAR MOIS ET PAR PERSONNE — y compris les bébés, les mères au foyer, les enfants, les écoliers, les étudiants, les vieillards, les malades et les handicapés —, tous ceux qui, par leur situation, ne peuvent pas produire ce dont ils ont besoin pour vivre un minimum. ~719 euros (ou équivalent en pouvoir d’achat dans une autre monnaie) seraient infiniment moins coûteux que de passer par un État qui, certes, redistribue un peu des richesses produites à ceux qui en sont dépourvus. Mais si l’État déshabille Paul pour habiller un peu Pierre, l’État se paie au passage et la ponction qu’il effectue est de moins en moins supportable par ceux qui produisent avec leurs bras et avec leur tête et n’arrivent pas à joindre les deux bouts….
Depuis la révolution industrielle, les progrès technologiques n’ont jamais été traduits monétairement dans le domaine financier de l’économie.
Pour aller vite dans l’explication, on peut résumer de cette façon :
Production durant les siècles anciens, c’était une production rare et chère, force uniquement du muscle humain, animal, vent et hydraulique = argent rare
Production à partir de la révolution industrielle, force de la vapeur devenant dominante avec le charbon = argent plus abondant en rapport avec la production croissante Mais misère humaine persistante
Production abondante tous azimuts : hydraulique et surtout charbon, pétrole, gaz, et nucléaire = argent abondant. La pauvreté coexistant avec la production surabondante témoigne que la production est confisquée monétairement par les faiseurs de monnaie, donc les banques, ce qui fausse irrémédiablement les rapports sociaux avec les conséquences négatives et toxiques que nous connaissons trop.
Production automatique par robotisation se généralisant = argent automatique. Équilibre enfin atteint.
La création de la monnaie de crédit selon les caprices des politiques monétaires des banques ayant droit de création monétaire, à la longue, a complètement faussé et vicié profondément le système capitaliste par un tel système financier. Croire en ce système financier nous ramènera toujours et douloureusement à l’erreur, aux crises, aux révolutions, aux guerres de toutes sortes, y compris cyber. C’est la production des biens et des services qui est l’ÉTALON monétaire. Je ne suis pas contre le capitalisme pour autant que ce dernier soit organisé de la même façon que fonctionnent l’agriculture et l’industrie, et toutes les activités — physiquement — productrices.
Le reste, c’est du baratin !!
Le monstre que constituent les politiques et les fonctionnaires est totalement inadapté à notre situation : i est couetux, lent et se trompe à 90%. Il est corrompu, n’a pas de « rêve » et n’aime pas l’effort.
* il a des « réponses » toutes faites : augmenter les taxes et impôts, injecter de l’argent.
Or, il érode les volontés et matraque les esprits brillants. Il s’agit d’une forme de caste qui ne vit qu’entre soi.
On prend le fils d’un mai, un garçon pas brillant, mais c’est pour la bonne cause, sauf que 20 ans après cette « étoile noire » devient automatiquement chef de service et à son tour de piocher encore plus bas : ceci explique cela.
Je ne sais pas si les solutions de Milton Friedman sont directement applicables en France sans mettre en danger la cohésion nationale – basée sur les services publics – mais l’hypertrophie de l’Etat et de son administration est un scandale absolu.
Dès la fin de la 2ème GM, Bernanos prévoyait déjà la tournure qu’allait prendre l’Etat :
«Les gouvernements prétendent convaincre les peuples qu’ils sont ingouvernables et, pour les rendre gouvernables, ils ne songent qu’à renforcer la puissance, déjà énorme, de l’État. Mais ce n’est pas l’État qu’ils renforcent, c’est l’administration, qui deviendra bientôt cette équipe de techniciens tout-puissants, incontrôlables, irresponsables, instrument nécessaire de la prochaine, de la très prochaine dictature universelle. Il n’est d’État que dans un pays libre. Un pays libre est un pays qui compte une certaine proportion d’hommes libres. C’est ce nombre plus ou moins grand d’hommes libres qui fait la légitimité, la dignité, l’honneur de l’État. […] L’État n’est rien s’il n’a son compte d’hommes libres capables non seulement de le servir, mais de le penser, de se faire de lui une idée juste et claire, acceptable par tous. Il faut donc refaire des hommes libres.
Français, ô Français, si vous saviez ce que le monde attend de vous !»
Georges Bernano, Français, si vous saviez… (recueil d’articles parus entre 1945 et 1948)