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vendredi 2 mai 2025 - 21:08

France: des moissons compromises, la qualité et la quantité ne sont pas au rendez-vous.

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En France, la saison des moissons a commencé avec deux semaines d’avance. La qualité et la quantité ne sont pas au rendez-vous.

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Source: francetvinfo

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19 Commentaires

  1. « En même temps » dans le centre-est / sud-est il ne pleut pas !
    Ce n’est pas 15 minutes de pluie orageuse qui recharge les sols.
    Le jardin potager est déprimant a regarder (pourtant archi paillé)
    C’est juste spécifique au sud est, ailleurs je ne peux pas dire.

  2. Quand on fait de la monoculture, quand on sème uniquement des graines du catalogue des semences, quand on détruit la régénération des sols à coup de produits chimiques et de labours profonds,quand on calcule la rentabilité en fonction des subventions européennes, quand… On obtient la situation actuelle.

    • L’ignorance n’empêche pas certains de fournir leurs conseils sur Internet.

      • 50% des semences de céréales sont de l’auto-production fermière.
      • 50% des céréales sont implantées en sans labour.
      • Les agriculteurs utilisent des engrais chimiques et organiques.
      • Sans les subventions, les agriculteurs ne pourraient vivre aussi nombreux. Un quart des exploitations agricoles ont disparues en 10 ans, que ne dirait-on pas si la même hécatombe se déroulait avait lieu chez les salariés ou les fonctionnaires !
      • Général n’a pas tout à fait tord quand il fait remarquer que tant que vous planterez des semences grosses consommatrices d’eau dans des endroits arides parceque c’est ce qui rapporte le plus à la PAC, et que vous pompez toutes les ressources hydriques mettant parfois en jeu également d’autres secteurs que le vôtre, on ne s’en sortira pas et vous vous plaindrez de plus en plus souvent par le manque d’eau !

        • Il n’a pas tout à fait tort selon vous, sauf qu’il ne dit pas ce que vous rapportez de lui.
          Ceux qui se plaignent le plus du manque d’eau sont les éleveurs du centre, parce que l’herbe crame dans leurs prairies. Or, ce sont des plantes pérennes, locales, qui consomment peu d’eau, qui ne sont pas labourées, etc.
          Il vaudrait mieux que vous limitiez vos interventions là où vous avez une expertise, même modeste.
          Quand aux plantes soi-disant consommatrices d’eau, nous sommes bien d’accord qu’il faudra s’adapter, mais je peux vous dire déjà que les producteurs agricoles sont les premiers à s’adapter puisqu’ils n’auront pas le choix de toute façon.
          Et ça n’a rien à voir avec les subventions agricoles puisque c’est le bio qui est le plus subventionné.

  3. un article qui a un mois et demi! Businessbourse, nous voulons de l’actualité d’aujourd’hui et de demain, pas celle d’hier et d’avant hier!

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