BEMOL INCROYABLE AU CANADA CONCERNANT LES VACCINS CONTRE LE COVID : « Une nouvelle enquête très sérieuse vient de prouver qu’ils n’étaient « ni SURS ni EFFICACES » …Ces vaccins n’ont JAMAIS vraiment été APPROUVES ! L’état d’urgence a permis toutes sortes D’AUTORISATIONS…Pourquoi est-il encore si compliqué de parler de CONFLIT D’INTERETS ?!!! »

Les vaccins contre la COVID-19 ont été autorisés au Canada en 2020 et 2021 sans être soumis aux tests de sécurité du pays comme l’exige la réglementation en vigueur sur les médicaments, a révélé un organisme de surveillance de la responsabilité.

Une enquête sur les vaccins contre le COVID a révélé que les vaccins n’étaient « ni sûrs ni efficaces », a déclaré la « National Citizens Inquiry » (NCI) à but non lucratif dans un article du 15 septembre sur X. L’organisation a publié jeudi un rapport détaillant le mécanisme défectueux par lequel les vaccins ont été administrés et ont tout de même obtenu une « approbation » au Canada.

« Il est important de comprendre que les vaccins contre la COVID-19 n’ont jamais été approuvés dans le cadre du processus traditionnel d’approbation des médicaments au Canada », indique le rapport. Au lieu de cela, « Santé Canada », l’agence fédérale responsable de la politique nationale de santé, a approuvé les vaccins par le biais d’un processus d’autorisation alternatif : un arrêté d’urgence.

« Dans le cadre du processus d’autorisation alternatif, la nécessité d’établir de manière objective la sécurité et l’efficacité des vaccins contre la COVID-19 semble avoir été mise de côté. »
Le Règlement sur les aliments et drogues du Canada exige qu’un médicament ne puisse être approuvé dans le pays qu’après que son innocuité et son efficacité aient été démontrées au ministre de la Santé. Ensuite, le ministre examine si les avantages sont supérieurs aux risques, après quoi l’approbation est accordée.

Au lieu de suivre la réglementation, le ministre de la Santé a sanctionné un arrêté d’urgence le 16 septembre 2021, qui exemptait tous les vaccins contre la COVID-19 de l’examen et de l’approbation normaux. Cette disposition permet généralement au ministre de déroger aux réglementations normales dans des situations de « risque important » pour la santé, la sécurité ou l’environnement.

Au Canada, quatre vaccins contre la COVID-19 ont été autorisés par l’agence de santé en vertu d’un arrêté d’urgence : Pfizer-BioNTech, Moderna, Janssen et AstraZeneca.

Le rapport note qu’en vertu de cette ordonnance, les vaccins étaient autorisés sous un « test subjectif ». Dans cette situation, l’autorisation est accordée en prouvant simplement que les bénéfices de la vaccination l’emportent sur les risques.

« Cela ne peut pas être une norme appropriée pour approuver un médicament que le gouvernement a l’intention d’administrer à l’ensemble de la population. Il est difficile de concevoir un test d’autorisation de drogue moins scientifique que celui prévu dans l’arrêté d’urgence.

De plus, l’ordonnance garantissait que les vaccins autorisés ne pourraient pas être révoqués, même s’il était prouvé qu’ils étaient dangereux et inefficaces. Une fois qu’un arrêté d’urgence est émis, le Règlement sur les aliments et drogues habituel ne s’applique plus.

L’ordonnance exempte ainsi les fabricants de l’obligation de démontrer effectivement « des preuves objectives de la sécurité et de l’efficacité » de leurs vaccins contre la COVID-19.
« Le résultat est que, même si les médecins en chef de tout le pays ont assuré à plusieurs reprises aux Canadiens que les vaccins contre la COVID-19 étaient « sûrs et efficaces », la population canadienne en général ne comprenait pas que leur processus d’autorisation n’exigeait pas de preuve objective d’innocuité ou d’efficacité.

« Pas sûr pour l’usage humain »

Le rapport du « NCI » a été soutenu par le cardiologue Dr Peter A. McCullough. « Excellent travail @Inquiry_Canada avec des témoignages exhaustifs et un examen des preuves. Conclusion : tous les vaccins contre la COVID-19 sont dangereux pour une utilisation humaine et doivent être retirés immédiatement du marché canadien pour protéger le public », a-t-il écrit dans un article du 16 septembre sur X.

Le Dr McCullough a récemment demandé aux législateurs européens de retirer du marché les vaccins contre la COVID-19 en raison de préoccupations concernant des maladies telles que l’inflammation cardiaque, les caillots sanguins et les maladies neurologiques.

« Les vaccins contre la COVID-19 et tous leurs descendants et futurs rappels ne sont pas sans danger pour une utilisation humaine. Je vous implore, en tant qu’organe directeur, l’Agence européenne des médicaments (EMA), d’exercer toutes les pressions et toute l’urgence nécessaire pour retirer les vaccins contre le COVID-19 du marché », a déclaré le Dr McCullough lors de son témoignage devant le Parlement européen le 13 septembre.

Le rapport du NCI intervient alors que la « Food and Drug Administration » (FDA) des États-Unis a approuvé de nouveaux vaccins contre la COVID le 11 septembre pour les enfants dès l’âge de six mois.
« La vaccination reste essentielle à la santé publique et à la protection continue contre les conséquences graves du COVID-19, notamment l’hospitalisation et la mort », a déclaré le Dr Peter Marks, un haut responsable de la FDA, dans un communiqué.

Cependant, de nombreux experts ont remis en question la demande de nouveaux vaccins. Plus tôt ce mois-ci, le chirurgien général de Floride, le Dr Joseph Ladapo, a critiqué les ces mêmes doses de rappel.

« Nous savons tous qu’un nouveau vaccin arrive à grands pas, il s’agit d’un nouveau vaccin à ARNm contre la COVID-19. Et il n’y a pratiquement aucune preuve de cela », a- t-il déclaré lors d’une conférence de presse.

« Il n’y a eu aucun essai clinique réalisé sur des êtres humains démontrant que cela profite aux gens, aucun essai clinique n’a montré que c’est un produit sûr pour les gens. Et pas seulement cela, mais il y a aussi beaucoup de signaux d’alarme.

M. Ladapo a déclaré que les vaccins à ARNm contre la COVID-19 ont « provoqué des lésions cardiaques chez de nombreuses personnes ».

Pas vraiment « intérimaire »

L’ordonnance d’urgence du Canada concernant les vaccins contre la COVID-19 « est devenue permanente », selon le rapport du NCI. Une ordonnance provisoire ne dure généralement qu’un an. En mars 2022, l’arrêté a été remplacé par un règlement permanent qui codifiait « l’autorisation subjective » du vaccin.

« Ainsi, dans le cadre du test permanent, Santé Canada ne doit plus se laisser influencer par l’urgence, mais simplement par le besoin de santé publique lié à la COVID-19. De cette façon, il semble que tant que le COVID-19 est un virus en circulation, « Santé Canada » doit autoriser tout vaccin pour lequel il existe un argument permettant de soutenir la conclusion que ses avantages l’emportent sur ses risques », indique le rapport.

« En effet, nous craignons que les fabricants de vaccins contre la COVID-19 n’aient jamais besoin de prouver l’innocuité ou l’efficacité de leurs produits. »

Le « NCI » a également allégué qu’il y avait eu un « conflit d’intérêts » lors de l’approbation des vaccins contre le COVID-19, avec la participation du gouvernement.

« Epoch Times » a contacté « Santé Canada » pour obtenir ses commentaires.

Intérêts politiques, Lettre à Trudeau

Le Canada n’autorise généralement pas l’importation de médicaments dans le pays à moins d’être approuvé par « Santé Canada ». Cependant, l’arrêté d’urgence permettait l’importation des vaccins non approuvés contre la COVID-19 « tant que le gouvernement canadien en était l’acheteur », indique le rapport.

Ce préachat et cette distribution de vaccins contre la COVID ont été effectués pour garantir que les vaccins seraient disponibles pour diffusion dès qu’ils seraient autorisés. « Cela a créé un énorme conflit d’intérêts. »

« Une fois les vaccins achetés, importés et prêts à être distribués, le gouvernement du Canada aurait subi un revers politique important s’il n’était pas en mesure de les autoriser. Il lui fallait donc autoriser les vaccins contre la COVID-19, et ce, rapidement.

L’administration « a commandé les vaccins, les a importés, a créé de nouveaux règlements pour les autoriser, puis a pris des mesures importantes pour convaincre et contraindre chaque Canadien à prendre plusieurs doses de rappel. Les enjeux politiques étaient élevés et le gouvernement fédéral était pleinement motivé pour autoriser les vaccins, quelle que soit leur efficacité ou leur sécurité réelle. »

Le 14 septembre, le « NCI » a envoyé une lettre au Premier ministre canadien Justin Trudeau soulignant la question de l’approbation du vaccin contre la COVID-19.

« Les Canadiens se fient à des représentations quant à la sécurité et à l’efficacité des vaccins contre la COVID-19 », ce que « Santé Canada » n’a jamais déterminé, indique la lettre. « Certains pourraient conclure que la fausse déclaration aux Canadiens sur une sécurité prouvée est intentionnelle, faite en sachant qu’elle était fausse et en ayant l’intention de s’y fier. »
« En termes de bon sens, la fausseté objective de l’allégation de « sécurité prouvée » remet en question le fondement du consentement éclairé à l’administration des vaccins, créant ainsi des responsabilités potentiellement énormes. »

Dans le contexte actuel, l’organisation a souligné que l’immunité de la population a augmenté et que les dernières variants sont devenus « plus doux ».

« Face à l’intention annoncée de votre gouvernement de promouvoir les doses de rappel dans les mois à venir, l’urgence consiste désormais à dire la vérité aux Canadiens et à prendre des mesures correctives.

Le « NCI » a demandé au Premier ministre de retirer les vaccins contre la COVID-19 « jusqu’à ce que l’évaluation rigoureuse normale puisse être effectuée » et de rétablir le test objectif traditionnel de sécurité.

Source: zerohedge

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