Les États-Unis se dirigent vers « la crise économique la plus prévisible de l’histoire », comme l’a dit un jour l’ancien chef de cabinet de la Maison Blanche de Bill Clinton. Pourquoi ? À cause de la montagne de dettes fédérales que nous ne cessons d’alourdir. Pour la première fois depuis la fin de la guerre, à la fin des années 1940, la dette américaine est à peu près égale à la valeur de tous les biens et services que notre économie produit en un an. Lorsque la Seconde Guerre mondiale a pris fin, toutes ces dépenses en chars et en avions ont rapidement pris fin. Mais les principaux moteurs de la crise de la dette actuelle sont Medicare et la Sécurité sociale, et leurs prix sont voués à continuer d’augmenter. Alors, que promet le président Joe Biden face à cette crise imminente ? Absolument rien. Et les législateurs républicains l’ont applaudi. « Ce soir, soyons tous d’accord », a déclaré Biden dans son discours sur l’état de l’Union de 2023, « nous ne toucherons pas à la sécurité sociale. Nous ne réduirons pas Medicare. Ces prestations appartiennent au peuple américain… Je ne permettrai pas qu’elles soient supprimées – ni aujourd’hui, ni demain, ni jamais. Mais apparemment, ce ne sera pas un problème. » Ne rien faire n’est peut-être pas un problème politique aujourd’hui, mais cela en deviendra un à mesure que la dette fera des ravages sur l’économie américaine. Nous dépensons déjà plus d’intérêts sur la dette fédérale que sur Medicaid et la défense. Même si les taux restent à 4 % pendant les prochaines décennies, les paiements d’intérêts annuels devraient dépasser ce que nous dépensons pour Medicare et la sécurité sociale. Les taux d’intérêt sont comme une bombe à retardement. S’ils atteignent 5, 6 ou 7 %, le coût de l’emprunt augmentera tellement que la dette fédérale serait en passe de dépasser 300 % du produit intérieur brut – soit trois fois plus que les niveaux de la Seconde Guerre mondiale. À terme, les coûts d’intérêt absorberaient la quasi-totalité des recettes fiscales annuelles des États-Unis. La cause n’est pas un mystère. La combinaison de la hausse des coûts des soins de santé et du départ à la retraite de 74 millions de baby-boomers fait exploser les coûts annuels de la Sécurité sociale et de Medicare. La Sécurité sociale et Medicare disposent de sources de revenus spécifiques, mais si rien ne change d’ici 2034, ces deux programmes collecteront 2,6 mille milliards de dollars par an en cotisations sociales et en revenus connexes, tout en dépensant 4,8 mille milliards de dollars en prestations sociales et en frais d’intérêts associés. Les républicains imputent toutes les dépenses aux démocrates. Mais l’ancien président George W. Bush a signé une loi qui a collectivement ajouté 6,9 mille milliards de dollars à la dette. Et l’ancien président Donald Trump a approuvé 7,8 mille milliards de dollars de nouvelles lois en un seul mandat. Pour les deux présidents, cela comprend à la fois d’énormes nouveaux projets de loi de dépenses et des réductions d’impôts de mille milliards de dollars. Les Républicains aiment parler de réduction des dépenses sociales, mais pour équilibrer le budget, nous devrions éliminer complètement tout financement pour les prestations aux anciens combattants, les paiements pour les enfants à charge, le crédit d’impôt sur le revenu gagné, les repas scolaires, les prestations d’invalidité, l’enseignement primaire et secondaire, la recherche en santé, les allocations de chômage, les bons d’alimentation, la sécurité intérieure, les infrastructures, la sécurité des ambassades, les prisons fédérales, la sécurité des frontières, Et bien plus encore. Il n’y a pas beaucoup d’appétit pour cela. Le discours progressiste le plus élémentaire est que les déficits n’ont pas d’importance et que taxer les riches peut éliminer le déficit. Mais environ 70 % des coûts des réductions d’impôts de 2001 et 2017 et des extensions ultérieures ont profité aux classes moyennes et inférieures. Si vous évaluez leur impact budgétaire, seule une infime partie peut être attribuée aux « réductions d’impôts pour les riches ». Saisir chaque maison, yacht, entreprise et investissement des 800 milliardaires américains financerait le gouvernement fédéral pendant neuf mois seulement. Et puis l’argent disparaîtrait. Il en irait de même pour votre 401(k), étant donné que la majeure partie de cette richesse serait saisie sur le marché boursier, provoquant l’effondrement du S&P 500. Il n’y a tout simplement pas assez de millionnaires, de milliardaires et de sociétés sous-taxées pour combler le déficit de trésorerie prévu de 124 000 milliards de dollars de la Sécurité sociale et de Medicare sur trois décennies ou – comme le proposent certains démocrates – pour financer une démocratie sociale généreuse pour 330 millions d’Américains. Il n’existe aucun moyen de protéger les retraités actuels de l’impact de cette situation. Et il n’existe aucun moyen de nous en sortir. L’âge d’admissibilité à la Sécurité sociale devra être relevé et ses versements aux personnes aux revenus supérieurs à la moyenne devront être réduits. Medicare devra devenir moins cher et les plus riches devront payer davantage pour cela. Devons-nous blâmer Biden et les politiciens qui l’applaudissent pour leur réticence à prendre le risque de s’attaquer à notre insolvabilité budgétaire imminente ? En fait, ce sont les électeurs qui sont les principaux responsables. Nous appelons simultanément à un budget équilibré, à des dépenses plus élevées et à la suppression des impôts. Nous votons pour les candidats du Père Noël des deux partis. C’est nous qui avons choisi ces politiciens lâches. Et nous en paierons le prix. L’assurance-maladie devra devenir moins chère et les plus riches devront payer plus cher. Devons-nous blâmer Biden et les politiciens qui l’applaudissent pour leur refus de prendre le risque de s’attaquer à notre insolvabilité budgétaire imminente ? En fait, ce sont les électeurs qui sont les principaux responsables. Nous appelons simultanément à un budget équilibré, à des dépenses plus élevées et à la suppression des impôts. Nous votons pour les candidats du Père Noël des deux partis. C’est nous qui avons choisi ces politiciens lâches. Et un jour, nous en paierons le prix.
Pourquoi investir dans l’or et quand ?
Bonjour,
Cela fait des années que l’on vous explique les raisons pour lesquelles il faut investir une partie de son patrimoine sur l’or.
Si vous suivez ce site, vous savez pertinemment ce qui se passe économiquement et ce depuis des années. nous nous dirigeons non pas vers des jours meilleurs mais bien vers un effondrement économique. Ce que nous affirmons n’est ni politique, ni idéologique mais juste mathématiques et découlant d’innombrables décisions politiques irresponsables depuis 50 ans.
Si vous l’avez compris, nous assistons là à une dépréciation monétaire continue de toutes les devises face à l’or. Si vous prenez la monnaie unique à savoir l’euro, cette devise a perdu plus de 85% de sa valeur depuis son introduction face à l’or. Le souci ce ne sont pas les 85% déjà perdus mais les 15 prochains pourcents qui seront perdus dans les mois et années à venir. Vous devez vous protéger en achetant de l’or ou de l’argent afin de tenter de préserver une partie de votre patrimoine contre cette dépréciation continue. Personne ne le fera à votre place.
A ceux qui vous disent que l’or n’est plus qu’une relique barbare, d’un autre temps et que cela ne sert à rien, je vous prouve l’inverse via le graphique ci-dessous:
Cours de l’or face à l’euro
Pourquoi le cours de l’or devrait continuer à s’apprécier ?
Il y a plusieurs aspects:
1 – La dette ne cesse d’augmenter depuis des années. Elle est devenue incontrôlable et ne cessera pas de croître dans le temps
2 – Le déficit ne cesse de se creuser année après année et à travers le temps…
3 – Incapable de rembourser sa dette, il faudra emprunter toujours davantage d’argent « Dette » chaque année afin de tenter de maintenir debout cette immense montagne d’endettement.
Regardez ci-dessous les montants records empruntés chaque année par la France….
2019 – La France va emprunter 200 milliards en 2019
2021 – Dette publique : comment la France compte emprunter 260 milliards en 2022
2022 – L’Etat empruntera 270 milliards d’euros en 2023, un record
2023 – Dette : la France empruntera 285 milliards d’euros sur les marchés en 2024, du jamais vu
Tout cet argent crée puis prêté et qui ne sera jamais remboursé sort de nulle part, ne repose sur aucune création de richesse et finira par s’ajouter à la dette déjà existante… ce n’est que de l’impression monétaire et une promesse qui ne sera jamais tenue. Et plus vous imprimez, plus la valeur du billet que vous détenez en portefeuille se déprécie. Il faut donc vous protégez de cette perte de valeur en achetant de l’or.
Il n’y a aucune solution à ce problème qui va s’accélérer mois après mois et année après année.
c’est la raison pour laquelle les marchés boursiers, immobiliers, obligataires, de l’art et de l’automobile sont dans une méga bulle et que cette vague inflationniste se répand désormais sur les biens courants en raison du trop plein d’argent crée de nulle part.
Ce cycle va se poursuivre et allez jusqu’à son terme. Détenez de l’or et de l’argent afin de vous protégez des effets néfastes à venir sur votre patrimoine qui risque de se déprécier de 60 à 90% dans les 5 prochaines années.
A la question quand y investir ? Il faut profiter de périodes où l’or se met à consolider ou à baisser pour acheter de petites quantités.
L’Or en 2024: Pour plus d’informations, lisez en dessous.
Est-ce que votre portefeuille est prêt pour 2024 ? L’or, cet atout séculaire, continue d’éblouir et de sécuriser les patrimoines des investisseurs avisés. Avec une réputation solidifiée par des millénaires, l’or se distingue comme une véritable ancre dans les tumultes économiques. En cette année décisive, examinons pourquoi l’or mérite une place de choix dans vos investissements.
L’Or et l’Inflation : Un Duo Inséparable
Avec l’inflation grimpant à des sommets inédits, l’or brille par sa capacité à préserver la valeur. Contrairement aux idées reçues, l’or ne se contente pas de suivre l’inflation ; il la devance, offrant un havre de paix lorsque les devises vacillent. Des études récentes révèlent que, sur les 50 dernières années, l’or a surpassé l’inflation 3 fois sur 4, soulignant son rôle crucial dans la protection du pouvoir d’achat.
Au Cœur des Crises : L’Or comme Refuge
Les tensions géopolitiques actuelles mettent en évidence la volatilité des marchés. Les investisseurs, témoins des récents bouleversements, se tournent vers l’or, attestant de sa fiabilité en périodes d’incertitude.
« En 2023, face à la crise, mon investissement dans l’or a été mon bouclier, » partage Julien, un investisseur chevronné, illustrant l’impact tangible de l’or sur la préservation des actifs.
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Pourquoi l’Or en 2024 ?
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