Hier, les banques ont été les seules à s’en soucier. Les règles de Bâle sont entachées de corruption. Warren Buffett continue de se débarrasser de Bank of America. Citi se débarrasse de ses créances douteuses. Deutsche Bank se débarrasse de ses créances immobilières, ou tente de le faire. JP Morgan se dégrade… elle-même. Et surtout, Ally Financial admet que le chômage est en train de devenir rapidement un gros problème et qu’il figure directement dans son bilan. JPMorgan mène les banques dans des perspectives en baisse, gâchant la victoire sur les règles.