Le dernier discours de Michel Barnier n’a pas manqué de provoquer de vives réactions parmi les Français. Dès son ouverture, les députés du Nouveau Front Populaire (NFP) ont exprimé leur désapprobation en brandissant leurs cartes d’électeurs. Un acte fort pour dénoncer le fossé entre ce nouveau gouvernement de droite et de centre, et le réel résultat des dernières législatives.
Rapidement, il aborde le thème de la **dette colossale**. Mais à qui revient la responsabilité de redresser les finances publiques ? À écouter Barnier, la réponse semble évidente : ce sera encore une fois aux Français de supporter le poids des erreurs de nos élites. Tout en clamant vouloir « demander une participation » aux grandes entreprises et “faire un effort” aux français fortunés, il annonce une revalorisation de 2% du SMIC dès le 1er novembre, soit une augmentation de seulement 27 euros par mois pour les plus modestes.
Plus surprenant encore, Barnier place la *santé mentale* comme grande cause nationale pour 2025. Pourtant, comment parler de services publics de qualité quand des milliers de soignants ont été licenciés durant la période Covid ? Derrière cette initiative se cache une évidence : multiplier les diagnostics de troubles mentaux pour conduire à une surmédicalisation et à un marché juteux pour les géants de la pharma. En pleine « dette colossale », Barnier miserait-il sur le secteur de la santé pour renflouer les caisses ? Personne n’est dupe.
Sur le plan sécuritaire, le discours de Barnier se durcit en évoquant le meurtre de Philippine, une jeune femme de 19 ans assassinée par un immigré clandestin en situation irrégulière. Face à ce drame, Barnier promet des peines de prison courtes et « immédiatement exécutées », ainsi que la construction de nouvelles places de prison. En parallèle, il admet l’échec de sa politique migratoire, rappelant que plus de 100 000 obligations de quitter le territoire sont prononcées chaque année, mais que des milliers d’étrangers en situation irrégulière restent impunément sur le sol français. Des paroles fortes, mais encore une fois, peu de résultats concrets.
En conclusion, Michel Barnier tente de finir sur une note de fraternité, en réaffirmant l’engagement de la France aux côtés de l’Ukraine et dans la région du Proche-Orient. Il appelle également à un cessez-le-feu à Gaza. Mais est-ce là une stratégie pour détourner l’attention des vrais problèmes internes ? Son discours s’achève par un appel à protéger la République, l’Europe et la France. Une belle rhétorique, mais qui semble bien éloignée des préoccupations des Français.
Yves Pozzo Di Borgo et Mike Borowski analyseront et décrypteront ce discours en direct sur GPTV. Ne manquez pas ce rendez-vous !
IMBUVABLE ET IGNOMINIEUSE ATTITUDE DE CET ENVAHISSEUR ANORMAL FACE A UN RESPECTABLE SENATEUR.
PARTICIPATION A UN PIRATAGE DE RESEAU INFO DES 2018.
G.