Pendant que les médias dominants répètent que manger des insectes est une avancée écologique, une tout autre lecture émerge. Le Forum économique mondial, bras idéologique de l’élite transnationale, pousse à une refonte totale de la société. Sous couvert de sauver la planète, c’est un nouveau modèle de soumission qui se profile.
De plus en plus de citoyens commencent à prendre conscience qu’il est temps de se prémunir contre les MNBC, ces monnaies numériques qui parachèveraient cette logique de contrôle. Face à cette bascule mondiale, nombreux sont ceux qui recherchent désormais une analyse hebdomadaire libre et indépendante pour comprendre les enjeux réels.
“VOUS NE POSSÈDEREZ RIEN ET MANGEREZ DES INSECTES” : LE PROJET DE DAVOS ACCÉLÈRE ! « Vous mangerez des insectes » : cette prophétie inquiétante n’a rien d’un simple délire écolo. Elle est le fruit d’une stratégie de transformation globale orchestrée depuis les hautes sphères du pouvoir. Thibault Kerlirzin démonte pièce par pièce la mécanique de cette vaste entreprise d’ingénierie sociale. Sous couvert d’urgence écologique, le Forum de Davos, appuyé par l’ONU et les multinationales, impose un nouveau modèle de consommation, transformant l’alimentation en vecteur de contrôle idéologique.
Derrière la question alimentaire, c’est un levier idéologique majeur qui s’impose. L’UE, fidèle exécutante de cette feuille de route mondialiste, a déjà validé plusieurs insectes comme “nouveaux aliments”, créant une norme implicite. Or, l’ingénierie sociale ne se limite pas à nos assiettes. C’est tout un système de surveillance algorithmique qui prend place. À l’ère du numérique, se protéger devient vital. Il est encore possible de résister à la numérisation des libertés tout en s’informant par des sources indépendantes de confiance.
Loin d’un choix éclairé, l’entomophagie devient un totem du monde d’après : moins de viande, moins de liberté, plus de normes. L’UE se plie sans sourciller à cette vision mondialiste, multipliant les autorisations pour les insectes au nom d’une planète à sauver. Mais derrière cette façade verte, c’est une société de contraintes qui s’installe.
Chaque crise devient prétexte à une solution imposée d’en haut. Les médias, souvent financés par ces mêmes élites, construisent un récit unique où toute alternative est criminalisée. Ce modèle ne peut perdurer qu’en réduisant au silence les voix dissidentes. D’où l’importance croissante d’outils comme une lettre confidentielle décryptant les stratégies en coulisses ou des plateformes pour se préparer aux restrictions à venir.
Crise après crise, les institutions internationales façonnent un récit où chaque privation devient une vertu. Et pendant que l’on nous vend la survie responsable, les véritables décideurs avancent leurs pions sur l’échiquier du contrôle global.
Face à ce rouleau compresseur idéologique, l’éveil des consciences devient crucial. Les populations doivent s’informer, se structurer et réinvestir les champs stratégiques. Car au-delà de l’assiette, c’est la propriété privée, les libertés fondamentales et la souveraineté individuelle qui sont visées. Il est temps de reprendre le contrôle sur ses choix et son avenir, tout en s’armant intellectuellement avec les clés d’une géopolitique lucide et engagée.
Retrouvez Thibault Kerlirzin et Raphaël Besliu sur Géopolitique Profonde.