Macron : le nouveau visage français de l’agenda atlantiste
Depuis plusieurs mois, Emmanuel Macron enchaîne les interventions diplomatiques… sans jamais désamorcer les tensions. Que ce soit en Ukraine, à Gaza ou à Taïwan, le président français adopte systématiquement la ligne dure, au mépris de la diplomatie traditionnelle. Pire : il semble parfois plus aligné sur les intérêts de Washington que sur ceux de Paris.
Pendant que les États-Unis s’interrogent ouvertement sur leur engagement militaire, Macron pousse à l’escalade. Pour ceux qui cherchent à comprendre la mécanique globale de cet alignement, cette lettre confidentielle est une ressource incontournable.
D’ailleurs, de nombreux analystes estiment que cette soumission stratégique va de pair avec la mise en place d’un nouveau modèle de contrôle économique, tel que la généralisation des monnaies numériques de banque centrale. Pour s’en prémunir, des solutions existent, comme celles détaillées ici.
Taïwan, Ukraine, Iran : la diplomatie française en pilotage automatique
Au lieu de jouer un rôle de médiateur dans les tensions planétaires, Macron adopte une posture idéologique proche de celle des néoconservateurs américains. Associer Taïwan à l’Ukraine, c’est provoquer la Chine inutilement, tout en empêchant la France de jouer un rôle de pont entre l’Est et l’Ouest.
Ce positionnement radical affaiblit la crédibilité de la France dans les pays non-alignés, notamment en Afrique et en Asie, où elle était autrefois perçue comme une puissance équilibrée. Cette glissade géopolitique soulève des questions fondamentales sur la perte d’indépendance stratégique française.
Heureusement, des sources indépendantes permettent de lever le voile sur cette réalité, comme la lettre confidentielle de Géopolitique Profonde. En parallèle, le spectre de la CBDC inquiète les observateurs : l’analyse ici explique pourquoi et comment s’en protéger.
Un autoritarisme numérique sous couvert de lutte contre la haine
Sur le plan intérieur, Macron applique la même logique de contrôle centralisé : censurer les réseaux sociaux, criminaliser la dissidence, et imposer une vérité officielle. Le discours de la lutte contre la haine n’est qu’un prétexte pour normaliser la surveillance de masse.
Les plateformes sont sommées de suivre les injonctions de l’État, l’ARCOM devient l’arbitre de la parole numérique, et les médias indépendants sont marginalisés.
Face à cette dérive orwellienne, certains citoyens s’informent désormais hors des circuits traditionnels, notamment via des ressources comme celles proposées ici.
Et pour ceux qui veulent aussi échapper au piège du contrôle financier, des solutions anti-CBDC concrètes sont détaillées ici.
La France en marche arrière : entre illusion progressiste et dérive autoritaire
Alors que Macron se présente en « progressiste éclairé », ses politiques trahissent une logique néolibérale et autoritaire, fidèle aux doctrines du Forum de Davos et de l’OTAN. La souveraineté nationale, pilier de la Cinquième République, est désormais bradée au profit d’une gouvernance supranationale opaque.
Cette orientation est de plus en plus contestée. Les Français, confrontés à l’effondrement économique et social, commencent à ouvrir les yeux sur la véritable nature de ce pouvoir. De nombreux analystes indépendants proposent des décryptages précieux, comme cette lettre confidentielle, ou encore des guides pour se prémunir des dérives économiques à venir.
Conclusion : Macron, relais de l’ordre mondial en crise
La ligne politique d’Emmanuel Macron illustre une rupture historique entre les élites françaises et le peuple. De l’Ukraine à Taïwan, de l’Iran aux réseaux sociaux, il agit plus en agent du chaos globalisé qu’en chef d’État soucieux de sa nation. Une trajectoire qui interroge, dérange, et surtout alerte.
Pour approfondir ces questions, les analyses de Claude Janvier, Xavier Moreau et François Martin sont disponibles dans La Matinale de GPTV. Et si l’aspect monétaire de cette manipulation vous inquiète également, ne manquez pas ces pistes de résistance anti-CBDC.