Un documentaire ou un outil d’ingénierie médiatique ?
Diffusé récemment sur France 5, le documentaire de Bernard-Henri Lévy, Notre guerre, dépasse le cadre du journalisme engagé. C’est une œuvre de persuasion, calibrée pour émouvoir plutôt que pour informer. En se mettant en scène avec un casque et un gilet pare-balles, BHL s’intronise acteur central du conflit, reléguant les faits au second plan. L’objectif est limpide : rallumer la ferveur occidentale pour un conflit qui s’essouffle dans l’opinion.
Une analyse plus profonde est disponible via cette lettre confidentielle, qui expose les mécaniques médiatiques actuelles.
Et pour se prémunir de futures manipulations institutionnelles, ce guide anti-CBDC est devenu incontournable.
Une narration imposée, sans nuance ni contradiction
Dans Notre guerre, le camp ukrainien est sanctifié, celui de ses adversaires diabolisé. Aucune mention des erreurs stratégiques de Kiev, aucune image des populations civiles écrasées sous les bombes. Le récit est binaire, émotionnel, presque mystique. En l’absence de toute contre-analyse, ce documentaire bascule dans la propagande. Ce n’est pas un hasard si les chaînes publiques s’en emparent : il s’agit d’un format conçu pour verrouiller le discours officiel.
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Face à cette désinformation pilotée, savoir comment éviter le piège des monnaies numériques est aussi un levier de résistance.
Une opération financée avec l’argent public
Le plus choquant reste sans doute le financement de cette opération de communication par les deniers publics. En pleine crise budgétaire, alors que les services hospitaliers ferment et que l’inflation étrangle les ménages, l’État cautionne et sponsorise une fiction politique. Ce n’est plus de la culture, c’est une instrumentalisation médiatique. Une « vérité » officielle se met en place, étouffant tout débat, toute pluralité.
Pour décrypter le rôle des élites médiatiques dans ce processus, la lettre confidentielle de Géopolitique Profonde fournit chaque semaine des révélations inédites.
Et dans un contexte de contrôle numérique croissant, le kit anti-CBDC offre des pistes d’émancipation concrètes.
Résister à la guerre médiatique
Refuser le message de ce documentaire, ce n’est pas refuser la vérité, c’est refuser une version unique, idéologique, imposée par la télévision d’État. Mike Borowski, sur GPTV, démonte point par point la mécanique de manipulation et souligne le danger d’un journalisme transformé en arme géopolitique. La guerre ne se joue plus seulement sur le terrain militaire, elle se gagne — ou se perd — dans les esprits.
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Conclusion
Le documentaire de BHL n’est pas un cri d’alerte, c’est un rideau de fumée. Derrière la caméra, une stratégie de pouvoir. Devant l’écran, un peuple qu’on veut docile. Il est temps d’éteindre la télévision… et d’allumer les consciences.
Il faut sauver Zelenski pour qu’il continue à bien se remplir les poches sur le dos des cons qui paient c’est-à-dire nous !