En pleine crise des transports, la région Île-de-France et la RATP offrent 165 bus à la Tunisie. Une opération habillée de bonnes intentions… mais financée par vous. Le tout résumé dans cette phrase choc : « C’est Nicolas qui paie ». Pendant que les Franciliens poireautent sur le quai, la Tunisie roule en bus français.