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samedi 3 mai 2025 - 18:29

Nicolas Perrin: Mensonges : quoi de neuf ?

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La mythomanie fait des ravages à gauche, à droite et au centre.

Emmanuel Macron a bien du mal à se défaire de l’étiquette de « président des riches ». Lui-même et son gouvernement ne ratent pas une occasion de soutenir que ce n’est pas le cas, et que ça serait même plutôt le contraire !

Alors, Macron, président des riches, ou pas ? Eric Verhaeghe tape dans le mille :

« La vraie question n’est pas de savoir si Macron est ou non le président des riches, puisqu’on le sait depuis toujours. La vraie question est de savoir en quoi c’est gênant. […]

Il y a quelques semaines, Bruno Le Maire a annoncé la fin des abattements fiscaux pour durée de détention des actions. Cette mesure profite à ceux qui sont déjà riches, et frappent en plein coeur ceux qui veulent s’enrichir. Elle montre qu’en France, il est plus facile de rester riche que de le devenir.

Il serait bien plus juste de reprocher à Emmanuel Macron de pénaliser l’enrichissement et de favoriser la richesse acquise, que de lui reprocher d’être le président des riches. Le problème français n’est pas de maltraiter les riches, mais de les maintenir entre eux, dans un huis clos inaccessible aux nouveaux venus. Les Français aiment les rentiers, ils détestent les parvenus. »

En définitive, la « vraie » question serait donc plutôt : avec des élites fascinées par la rente, la France a-t-elle atteint le niveau de « place européenne de l’immobilisme » ?

Le discours des Républicains est-il moins emprunt de mythomanie ? A votre avis, si Laurent Wauquiez est un jour président de la République, mènera-t-il une politique libérale ? Voici une piste pour vous faire votre petite idée :

Qu’attendre d’autre que de l’opportunisme de la part d’un homme dont la carrière entière repose sur le storytelling, des premiers pas en politique jusqu’à la présidence des Républicains ?

La liste est longue :

Teinture de cheveux pour paraître plus âgé que certains « jeunes loups sarkozystes »,

Recours aux services d’un coach vocal pour arborer l’accent de la Haute-Loire,

Tentative de faire peuple en surjouant la syntaxe populaire et en racontant que son père était « employé de banque », alors que Philippe Wauquiez était l’un des dirigeants d’Indosuez,

Prétendue amitié avec soeur Emmanuelle,

Prétendue maîtrise de la langue arabe (sauf qu’aucun journaliste n’a jamais réussi à lui faire décrocher une phrase autrement qu’en français)…

Y-a-t-il un truc de vrai chez Laurent Wauquiez ?

Et nos sous, dans tout ça ?

Faute de permettre à chacun d’apprécier le vertige que procure le pouvoir, la politique a le mérite de rapporter de l’argent à tout de même pas mal de monde, surtout quand on se trouve dans l’opposition depuis plus d’un demi-siècle, tous mandats cumulés. Certains ne cachent d’ailleurs pas qu’ils en sont très fiers :

C’est ce qu’a répondu Jean-Luc Mélenchon à Bruno Le Maire au mois d’octobre, alors que ce dernier lui proposait de comparer leurs patrimoines respectifs. Taquin, le ministre ! Voici en détails ce que le leader de La France Insoumise lui a rétorqué :

« Je suis un homme honnête, je n’ai jamais accumulé autrement que parce que je suis une fourmi et non pas une cigale, et je suis fier de mon compte en banque, je ne dois rien à personne ».

C’est une façon de voir les choses.

En tous cas, j’en connais une qui n’aurait pas pu tenir de tels propos à la même époque :

Même si à l’extrême gauche on prend particulièrement soin de son compte en banque, à côté de Claude Guéant, Jean-Luc Mélenchon et Raquel Garrido ne sont que des petits joueurs. Je vous laisse admirer la performance du boss :

S’il n’avait pas été rattrapé par la Justice, l’ancien ministre, Chevalier de la Légion d’honneur et Commandeur de l’Ordre national du Mérite, aurait définitivement éliminé tous ses concurrents.

Une héroïne bien maltraitée

Impossible de clore cette rubrique sans évoquer les propos d’une députée En Marche tenus mi-décembre 2017. L’élue en question, ancienne chef d’entreprise, a expliqué à L’Opinion avoir dû revoir son train de vie à la baisse après que ses revenus sont passés de 8 000 € par mois lorsqu’elle travaillait dans le privé, à 5 000 € par mois en tant que députée. Autant vous dire que la presse s’en est donnée à cœur joie.

Les critiques que j’ai pu lire me semblent tout à fait incongrues. En l’espèce, il ne s’agit pas d’un politicien de carrière à la Mélenchon qui n’a quasiment jamais vécu que de l’argent du contribuable.

Nous avons affaire à une personne qui, après avoir réussi dans le privé en France, explique concrètement qu’elle a en partie renoncé à son confort matériel pour devenir députée.

Difficile à mon sens d’y déceler de l’intéressement. J’aurais plutôt tendance à y voir une réelle volonté de servir.

Question : connaissez-vous beaucoup de monde qui renoncerait à 37,5% de ses revenus pour devenir député ?

Je trouve bien dommage que cette affaire ait été traitée de la sorte. Cela aurait pu être l’occasion de se demander si la France n’aurait pas intérêt à employer moins de parlementaires, quitte à mieux les payer. Cela rendrait ces postes plus attractifs à des personnes compétentes et intègres, plutôt que de leur donner envie de démissionner pour refonder une boîte… cette fois-ci peut-être à l’étranger !

Et si on en profitait pour lever des fonds ?

Avez-vous entendu parler du « Média », aussi appelé « Le Média citoyen », lancé le 15 janvier ? Il s’agit d’un projet de média internet « indépendant », mais lancé par des personnalités tout de même très proches de l’extrême gauche, comme par exemple le psychanalyste Gérard Miller (ancien maoïste, ancien dirigeant de la Gauche prolétarienne et soutien de Jean-Luc Mélenchon).

Sur son site web, on peut lire que Le Média est « engagé en faveur des causes sociales et écologiques » et qu’il « revendique des valeurs citoyennes » (ne me demandez pas ce que ça veut dire). Plus intéressant, on y promet entre autres qu’ »être Socio c’est devenir propriétaire d’un nouveau média audiovisuel ». A l’heure où j’écris ces lignes, le site affiche plus de 10 000 « socios » pour 1,2 M€ de récoltés.

10 000 personnes de sensibilité disons très, très à gauche seraient-elles soudainement devenues autant de détenteurs de capital productif ?

A en croire le gérant de fonds Guillaume Nicoulaud, qui s’est penché sur la question début décembre, rien n’est moins sûr. Après avoir décortiqué un montage pour le moins opaque, voici son diagnostic :

Outre le fait que rien ne garantit qu’être « socio » vous permettra d’avoir la moindre influence sur la ligne éditoriale du bidule, Guillaume Nicoulaud souligne que « votre ‘titre de propriété’ n’en est pas un : vous ne pouvez pas le vendre et il ne vous donne aucun pouvoir de décision. C’est-à-dire, très concrètement, que vous avez fait un don. »

Mais ce genre de pratiques n’est pas l’apanage du politique. Le secteur des crypto-devises est lui aussi particulièrement propice pour soutirer de l’argent à des personnes pas assez regardantes sur la marchandise. Ainsi, mi-novembre, des investisseurs se sont regroupés dans le cadre d’une class action pour poursuivre la société Tezor.

Le litige ? Après avoir « investi » 232 M$ lors de l’ICO de Tezor, les investisseurs ont découvert qu’ils étaient en réalité des donateurs…

Je vous dis à la semaine prochaine pour vous parler cette fois « classe politique et efficacité ».

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Source: la-chronique-agora


Nicolas-PerrinL’article est de la plume de Nicolas Perrin, l’auteur de l’ouvrage de référence « Investir sur le marché de l’or: Comprendre pour agir » (Editions Franel 2013) et spécialiste de la gestion de patrimoine. Nicolas PERRIN est conseiller en gestion de patrimoine indépendant. Diplômé de l’IEP de Strasbourg, du Collège d’Europe et de l’Université d’Aix-Marseille, il intervient pour les Publications Agora en tant qu’éditorialiste.


Je vous conseille vivement d’écouter ci-dessous la mise en garde d’Egon Von Greyerz sur la situation actuelle et sur l’énorme crise qui se profile.

Fabrice Drouin Ristori: Egon, pouvez-vous nous dire comment vous voyez la situation évoluer à l’avenir ?

Egon Von Greyerz: « Il n’y a pas de solution à ce problème. Le problème est trop grave, comme je l’ai dit; les gouvernements sont en faillite, les dettes augmentent maintenant à un rythme exponentiel, et il n’y a aucune possibilité de réduire les dettes. Tout gouvernement qui essaie de lancer des plans d’austérité se fait immédiatement renvoyer, et même s’il pouvait instaurer ces mesures d’austérité, il est aujourd’hui trop tard. Alors la prochaine étape que je vois, et je crois que cela commencera très bientôt, est que les déficits vont s’accélérer, et donc l’impression monétaire va s’accélérer, et on sera en route vers une dépression hyperinflationniste.

La dette mondiale vient d’atteindre un nouveau sommet historique à 233.000 milliards de dollars Egon Von Greyerz: d’ici peu, les banques centrales vont paniquer et commencer à imprimer plus de monnaie que jamais

Bien sûr, cela pourrait prendre des années, mais je crois que cela va aller plus vite que prévu, parce que le système est très fragile… alors l’impression monétaire, comme je l’ai dit, détruira les monnaies, qui sont toutes à la baisse depuis cent ans; elles ont perdu 97 à 99% par rapport à l’or ces cent dernières années, et elles ont perdu 80% par rapport à l’or ces douze dernières années. Il ne reste plus beaucoup de chemin à parcourir pour atteindre 100%, ce qui arrivera, et alors l’impression monétaire aura entièrement détruit la valeur des monnaies papier, et c’est ce qui créera de l’hyperinflation.

Egon Von Greyerz: « L’état réel de l’économie mondiale est inquiétant ! » 1971: 100$ permettaient d’acheter un lingot d’Or de 100g – 2016: ces 100$ permettent d’acheter 3g de ce même lingot

Fabrice Drouin Ristori: Dans ce contexte, peut-on dire que l’Or est dans une bulle ?

Egon Von Greyerz: L’or n’est pas dans une bulle. Tout ce que fait l’or, c’est refléter la destruction des monnaies papier. Vous devez regarder la courbe à l’envers : alors, au lieu de voir l’or monter, vous verrez les monnaies se déprécier. Ce n’est pas l’or qui monte, c’est le dollar, l’euro et la livre sterling qui baissent. Et cela va continuer.

Face à l’Or, le dollar a perdu plus de 98 % de sa valeur d’origine Egon Von Greyerz: « L’Amérique doit se réveiller – le dollar va vers zéro ! »

Seulement 1% des actifs mondiaux sont alloués à l’or aujourd’hui, presque personne ne possède de l’or en réalité, et l’or a quand même monté ces douze dernières années, il a quintuplé, sextuplé, selon la monnaie. Et, comme je l’ai dit, à peine 1% des investisseurs possèdent de l’or. Cela va changer dans les années à venir, ce qui signifiera que la demande d’or va augmenter et, vu qu’il n’y a pas assez d’offre, cette offre additionnelle ne peut se manifester qu’avec des prix plus élevés. Et c’est ce qui va arriver.

Réveillez-vous !!!!

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7 Commentaires

  1. Ah Monseigneur Macron, roi de France et de Navarre, Emmanuel 1er, empereur de tous les français, descendant décati de Napoléon III, dit déjà « le petit » par Hugo qui le comparaissait à son oncle, le petit Caporal, Napoléon Bonaparte.
    Macron, l’obéissant aux empressés désidératas de l’Union-Européenne, de l’empire U.S., des oligarques français et européens, les mêmes qui sévissaient en Russie sous Eltsine, ainsi qu’à Fraulein Merkel.
    Parce qu’il n’y a plus de riches en France, il n’y a que des oligarques, et comme les ouvriers hier, toutes les classes-moyennes, basses, intermédiaires et hautes sont en voie d’être détruites, ruinées!
    Comme aux États-Unis-d’Amérique, notre modèle de société devant lequel tant se prosternent, extatiques.
    Quand à la gauche de la gauche, qui n’est plus que l’ombre de son ombre, qui se dit insoumis mais n’est que d’une insoumission toute relative, elle et son maître d’œuvre, Monsieur Mélenchon, sera contrainte à se radicaliser de par la radicalisation de sa base qui, elle, ne veut plus d’une Union-Européenne qui ne se voudrait qu’une pauvre caricature de l’exemple donné par les impériaux étasuniens, leurs maîtres à penser.
    U.E. qui ne cesse de vendre à l’encan la moindre petite valeur industrielle et agricole de la France et de l’Europe, sous une autorité, si tant est qu’elle soit telle, qui n’attend que la fin de son mandat pour suivre les pas d’un sieur Barroso qui sut trouver un poste juteux chez Goldman Sachs.
    Il faut bien récompenser ceux qui se dépensèrent sans compter pour l’oligarchie impériale, n’est-ce pas?
    A quoi donc songe monsieur Junker en ce moment même?
    Vous avez dit mensonge, Monsieur Perrin, mais lequel est le pire, sinon celui qui ne se veut pas voir, quel pire menteur que celui qui se ment à lui-même, qui ne veut pas voir la vérité en face!
    Moi comme vous, nous avons une responsabilité au-devant de l’effondrement de l’industrie européenne, mais aussi de celle du monde, tellement terrifiante que personne de veut la voir.
    Mais la mienne, de responsabilité, fut d’avoir voté oui pour le traité de Maastricht, l’une des premières pelletés de la tombe de l’économie de l’Europe toute entière.
    Et la vôtre, qu’elle est-elle, qu’elles sont-elles?
    Parce que vous savez très bien, Monsieur Perrin, que la seule réalité économique qui vaille ce sont les créations de richesses par les productions des usines, fabriques et terrains agricoles, puis la vente de ces marchandises produites d’abord dans le pays producteur, au sein de frontières semi-poreuses, puis, et seulement ensuite, à l’exportation.
    Les monnaies n’étant que les vecteurs résultant de cette efficacité économique nationale, puis internationale.
    Et que de croire que la monnaie puisse être l’économie elle-même est d’une monstruosité économique sans nom, un fantasme, un délire, devenu aujourd’hui collectif.
    La valeur d’une monnaie est relative à la richesse réelle et potentiellement future du pays émetteur.
    Avec une inflation résiduelle entropique naturelle due à l’efficience économique du-dit pays, se situant entre 4 à 7% environ.
    Si vous produisez plus de monnaie à l’aune de cette richesse, vous avez une sur-inflation égale à la différence entre la richesse de ce pays et la quantité de monnaie produite.
    Si vous avez une réduction industrielle et agricole de ce pays, vous obtenez de la déflation par la baisse de la masse salariale.
    Ce à quoi nous assistons depuis deux décennies environ c’est une déflation internationale pour les populations en raison de la mise en concurrence entre des nations aux émoluments différents (aujourd’hui les entreprises s’installent en Afrique, région du monde où ces émoluments sont les moindres).
    Et à une hyper-inflation pour les oligarques à cause des hyper-productions monétaires déversées dans les opération spéculatives de toutes natures, la masse de crédits et de dettes déversées à tous les niveaux hiérarchiques des sociétés humaines (surtout aux U.S.A. et en Chine), particuliers, états, entreprises et…sociétés spéculatives, dont les banques.
    Cet abyssal déséquilibre entre l’économie réelle et l’économie monétariste détruit la première pour être déversée dans la seconde.
    D’où le fait que la désindustrialisation mondialisée en cours s’accélère de manière régulière et, aujourd’hui, en arrive à son échéance finale.
    Vous n’êtes pas sot, Monsieur Perrin, loin de là, et de tout cela vous le savez aussi bien que moi l’ai compris, mais, comme beaucoup, vous ne voulez pas vous l’avouer, sinon vous comprendriez vers quoi nous conduisent ces démences: en droite direction d’un effondrement de l’économie mondiale et de la quasi totalité des monnaies, sauf du rouble et de quelques-autres, et encore.
    Puis, un lustre à un lustre et demi plus tard environ, à une conflagration dont personne ne peut prévoir ni la réalité de ses effets, ni celle de sa dimension.
    Alors, Monsieur Perrin, si vous voulez considérer la logique politique et économique de notre époque, faites-le, mais demandez-vous d’abord la part de responsabilité qui, en cela, vous revient, et puis, étudiez nos anciens et l’histoire, vous verrez, les leçons des uns et de l’autre sont for instructives.
    Mais pour cela il vous faudrait vous écarter de votre groupe, votre société, oseriez-vous vous retrouver ainsi isolé au nom de la simple réalité des faits?
    J’en doute.

  2. Le Mensonge, il y a que ça de vrai.
    Le Système tout entier repose sur le Mensonge, donc ça ne sert à rien de crier au loup.
    De toute façon les humains préfèrent qu’on leur chatouille les oreilles ; tandis que la Vérité inquiète.
    Le politicien qui dirait la vérité se grille.

  3. Ce n’est pas gentil d’insulter les pigeons, un peu de respect pour la nature… les pigeons ne mentent pas et ne trichent pas.
    Les gens ne sont pas des pigeons mais des morpions (des pions morts, des poux du pubis qui vont perdre leur refuge car désormais on va raser gratuitement).

  4. C’est tout à fait exact, Emmanuel Macron n’est pas le président des riches, il en a repris l’investiture (il porte l’étiquette) : une nation d’assistés mais il n’est pas comme les autres présidents.

    Les gens jugent les autres tels qu’ils sont EUX-MÊMES, Macron n’est que le miroir de qui ils sont mais Emmanuel Macron n’est pas le miroir, il porte le miroir pour renvoyer aux gens leur propre image (nuance!).

    • Euh, ces assistés, ne serait-ce donc pas ces hyper-riches qui, à bien y regarder, ressembleraient à s’y méprendre aux oligarques russe sous Eltsine dont, à l’époque, nous nous gaussions tant?
      Pour qu’il y ai moins de chômeurs, il faudrait pour cela qu’il y ait plus de travail, donc d’usines et d’agriculteurs.
      Ce que nous empêche notre appartenance à l’Union-Européenne et à l’ensemble de ses institutions délétères et néfastes.
      Tout au contraire, notre gouvernement et les trois autres d’auparavant bradent à qui ne plaise notre tissu industriel et nos terrain agricole.
      Je suis toujours étonné de percevoir combien de nos contemporains sont dans l’incapacité de comprendre les liens logiques entre les causes et leurs effets, causalité qui fut l’une des découvertes majeurs de la science occidentale.
      Ainsi que le manque de compassion que certains expriment envers leurs semblables.
      Est-ce comme cela qu’ils se représentent être eux-mêmes?
      La question reste ouverte…
      Vive le France-quitte!

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