Le monde consomme un peu moins de 60% du volume de l’Amazone en eau douce, chaque année. A l’heure où le malthusianisme forcené, veut confisquer toutes nos libertés, limiter drastiquement les naissances, nous confiner dans ces atroces « villes de 15 minutes », il était devenu absolument vital de contredire ce discours apocalyptique par un peu de science exacte. Non, nous ne manquons pas d’eau potable. Certes, sa répartition dans le monde n’est pas bonne, mais une chose qui peut se répartir facilement de l’Alaska à l’Afrique et du Lac Baïkal à la Terre de Feu, c’est l’intelligence et la connaissance.Si la Macronie a vanté le projet apocalyptique d’un nouveau rationnement de l’eau douce (dans une France qui n’a jamais manqué d’eau, ni pour sa population ni pour son agriculture ni pour son industrie) nous devons rappeler que des projets existent qui pourraient générer le débit de plusieurs grands fleuves par an, et que non, définitivement, nous ne manquons pas d’eau douce, nous ne manquons que de bon sens.
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L’évaporation de l’eau de mer ne provoque pas de précipitation car la vapeur d’eau océanique est dépourvue de deutérium (un isotope de l’hydrogène), contrairement à l’évapotranspiration issue de la végétation terrestre. Créer artificiellement des bassins d’évaporation d’eau océanique reviendrait à augmenter la surface des océans, ce qui ne réglerait aucun problème concernant le manque de précipitations dans les zones en voie de désertification.
Il faut retenir et répartir l’eau douce sur les terres émergées pour augmenter l’évapotranspiration. Il n’y a pas d’autre solution pour mettre un terme à l’expansion des zones en voie de désertification.
Je suis écolo mais la ça deviens louche des regions en France où il y a des restrictions d’eau alors que tout est vert et il pleut régulièrement.
On peut tout à fait être ecolo, cad être sensible au bien être, au vivant et donc à son environnement, et être intelligent.
Non seulement ce n’est pas incompatible, c’est nécessaire/vital 😉