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samedi, mai 18, 2024

Croyez moi ou pas mais vous n’assisterez pas à un atterrissage de l’économie en douceur mais à un énorme Crash ! Je vous le garantis !!

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Pouvez-vous deviner de qui provient la citation dans le titre de cet article ? Je vais vous donner un indice. Ce n’était pas moi. Je sais que cela aurait pu venir de moi, mais cela vient en fait d’un très grand nom de Wall Street. Ellen Zentner qui est l’économiste en chef de Morgan Stanley aux États-Unis, et c’est elle qui l’a dit. Lors d’un entretien avec CNBC, elle a averti que « les impacts du resserrement de la politique monétaire » auront d’énormes conséquences sur l’économie américaine dans les mois à venir…

« Nous connaîtrons un atterrissage brutal à un moment donné. Je vous le garantis. Nous nous demandons tous : quand est-ce que cela va arriver ? » dit-elle. « Ce que Dimon fait valoir, c’est qu’il y a des impacts cumulatifs qui s’accumulent avec le temps, et nous sommes dans le moment où nous n’avons pas encore vu tous les impacts de resserrement de la politique monétaire », a-t-elle ajouté, faisant référence à l’impact de la Fed avec les hausses de taux.

Elle fait une excellente remarque.

Les conséquences des hausses de taux d’intérêt se font sentir au fil du temps.

La hausse des taux d’intérêt a certainement commencé à causer beaucoup de problèmes, mais si les taux ne baissent pas bientôt, le niveau de souffrance que nous éprouvons commencera à augmenter considérablement.

Malheureusement, il est peu probable que la Fed réduise ses taux d’intérêt de si tôt, car l’inflation continue d’être plus élevée que prévue

L’inflation a augmenté à son plus haut niveau depuis près d’un an, selon la mesure privilégiée par la Fed – confirmant que les taux d’intérêt ne seront pas réduits avant juin environ.

L’indice dit des dépenses de consommation personnelle de base (PCE) – qui exclut les prix volatiles des produits alimentaires et de l’énergie – a augmenté de 0,4% entre décembre et janvier.

Marko Kolanovic, le stratège en chef des marchés chez JPMorgan Chase, estime que l’économie américaine pourrait se diriger vers « quelque chose comme la stagflation des années 1970 » …

Dans une note d’analyste adressée aux clients, le stratège de marché en chef de la banque, Marko Kolanovic, a averti que l’économie pourrait s’éloigner du scénario « Boucle d’or » – dans lequel elle ne connaît ni expansion ni contraction excessive – et entrer dans une période de stagflation similaire à celle connue dans les années 1970.

« Pour en revenir à la question du régime macroéconomique du marché, nous pensons qu’il existe un risque que le récit de Boucle d’or revienne à quelque chose comme la stagflation des années 1970, avec des implications significatives pour l’allocation d’actifs », a écrit Kolanovic.

Je dirais que nous avons déjà traversé une période de stagflation.

L’économie stagne certainement et l’inflation est à un niveau inacceptable.

Mais aujourd’hui, la situation s’est considérablement détériorée au début de l’année 2024, et nous observons des signes très inquiétants.

Par exemple, j’ai été stupéfait d’apprendre qu’un fonds de pension canadien vient de vendre une participation dans une tour de bureaux de Manhattan pour seulement un dollar …

Les fonds de pension canadiens comptent parmi les acheteurs de biens immobiliers les plus prolifiques au monde, amorçant une révolution qui a incité les régimes de retraite du monde entier à les imiter. Aujourd’hui, le plus grand d’entre eux prend des mesures pour limiter son exposition au type de propriété le plus en difficulté: les immeubles de bureaux.

L’Office d’investissement du régime de pensions du Canada a conclu trois transactions à prix réduits, vendant ses intérêts dans deux tours de Vancouver, un parc d’affaires en Californie du Sud et un projet de réaménagement à Manhattan, la participation de New York étant cédée pour le prix dérisoire de seulement 1 $. L’inquiétude est que ces accords pourraient servir d’exemple à d’autres grands investisseurs cherchant également à sortir de la tourmente.

L’Office d’investissement du régime de pensions du Canada détenait une participation de 29% dans le 360 ​​Park Avenue South de Manhattan.

Il était prévu de réaménager cet immeuble, mais à l’heure actuelle, les perspectives pour les immeubles de bureaux sont si mauvaises que le fonds de pension a tout simplement voulu s’en retirer.

C’est ainsi que la totalité des 29% du capital a été vendue pour seulement un dollar.

Vous souvenez-vous quand j’ai prévenu que nous nous dirigions vers le pire krach immobilier commercial de l’histoire ?

Eh bien, voilà à quoi ressemble un crash.

Pendant ce temps, les grands employeurs de toute l’Amérique continuent de procéder à des licenciements massifs.

Aujourd’hui, j’ai été attristé d’apprendre qu’Electronic Arts licencie environ 700 salariés

Un autre jour, une autre série de licenciements massifs dans l’industrie du jeu vidéo. Electronic Arts (EA) a annoncé qu’elle supprimerait environ 5% de ses effectifs, mettant ainsi près de 700 personnes au chômage. Cela annule également des jeux et ferme au moins un studio de développement.

Le PDG d’EA, Andrew Wilson, a annoncé les licenciements dans un e-mail adressé aux employés, qui a ensuite été publié sur le blog de l’entreprise mercredi.

Et on vient d’apprendre plus de détails sur les licenciements auxquels procède Citigroup …

Citigroup supprime près de 300 emplois à New York alors qu’il poursuit sa vague de licenciements massifs dans le but de maîtriser ses dépenses, selon des documents déposés auprès du Département du Travail de l’État.

Environ 239 salariés de la filiale bancaire principale, 44 de son unité de courtage et trois de sa branche technologique seront licenciés, selon les avis d’ajustement et de recyclage des salariés (WARN) déposés cette semaine.

Début janvier, l’entreprise avait annoncé qu’elle supprimait 20 000 postes « à moyen terme », dans le cadre d’un effort de réorganisation. Ces réductions devraient permettre à l’entreprise d’économiser entre 2 et 2,5 milliards de dollars.

Nous n’avons rien vu de tel depuis la Grande Récession de 2008 et 2009.

Jeudi, Zero Hedge a publié une liste de 50 entreprises procédant à des licenciements massifs que vous pouvez observer ci-dessous…

1. Everybuddy : 100 % de l’effectif
2. Wisense : 100 % de l’effectif
3. CodeSee : 100 % de l’effectif
4. Twig : 100 % de l’effectif
5. Twitch : 35 % de l’effectif
6. Roomba : 31 % de l’effectif
7. Bumble : 30 % de l’effectif
8. Farfetch : 25 % de l’effectif
9. Away : 25 % de l’effectif
10. Hasbro : 20 % de l’effectif
11. LA Times : 20 % de l’effectif
12. Wint Wealth : 20 % de l’effectif
13. Finder : 17 % des effectifs
14. Spotify : 17 % des effectifs
15. Buzzfeed : 16 % des effectifs
16. Levi’s : 15 % des effectifs
17. Xerox : 15 % des effectifs
18. Qualtrics : 14 % des effectifs
19. Wayfair : 13 % des effectifs
20. Duolingo : 10 % des effectifs
21. Rivian : 10 % des effectifs
22. Washington Post : 10 % des effectifs
23. Snap : 10 % des effectifs
24. eBay : 9 % des effectifs
25. Sony Interactive : 8 % de l’effectif
26. Expedia : 8 % de l’effectif
27. Business Insider : 8 % de l’effectif
28. Instacart : 7 % de l’effectif
29. Paypal : 7 % de l’effectif
30. Okta : 7 % de l’effectif
31. Charles Schwab : 6 % de l’effectif
32. Docusign : 6 % de l’effectif
33. Riskified : 6 % de l’effectif
34. EA : 5 % de l’effectif
35. Motional : 5 % de l’effectif
36. Mozilla : 5 % de l’effectif
37. Vacasa : 5 % des effectifs
38. CISCO : 5 % des effectifs
39. UPS : 2 % des effectifs
40. Nike : 2 % des effectifs
41. Blackrock : 3 % des effectifs
42. Paramount : 3 % des effectifs
43. Citigroup : 20 000 salariés
44. ThyssenKrupp : 5 000 employés
45. Best Buy :
3 500 employés 46. Barry Callebaut : 2 500 employés
47. Outback Steakhouse : 1 000
48. Northrop Grumman : 1 000 employés
49. Pixar : 1 300 employés
50. Perrigo : 500 employés

Regardez simplement cette liste.

C’est fou !

Quiconque pense que l’économie américaine va dans la bonne direction se trompe tout simplement.

Greg Hunter vient d’interviewer l’analyste économique David Morgan, et il prévient que nous entrons en fait « dans une dépression mondiale comme le monde n’en a jamais vu » …

L’analyste économique et écrivain financier David Morgan s’est opposé à la majorité par le passé avec des prévisions qui semblaient incroyables à l’époque. L’année dernière, on avait anticipé que la Fed ne réduirait pas ses taux d’intérêt en 2023. La Fed ne l’a pas fait, et Morgan continue de prévoir qu’il n’y aura pas de baisse des taux d’intérêt de la Fed dans un avenir proche. Aujourd’hui, avec un marché boursier à des sommets historiques, Morgan prédit : « Nous entrons dans une dépression mondiale comme le monde n’en a jamais vu. »

Les banques centrales mondiales ont réussi à retarder l’inévitable en inondant le système avec des montagnes colossales de fausses monnaies(Planche à billets).

Mais cela a simplement créé une énorme inflation et, de toute façon, une horrible crise économique s’annonce.

J’encourage donc tout le monde à se préparer à un « atterrissage brutal » qui approche à grands pas, car il sera extrêmement douloureux pour ceux qui n’y sont pas préparés.

Source: theeconomiccollapseblog

L’Or en 2024: Pourquoi Devriez-vous Investir ?

Est-ce que votre portefeuille est prêt pour 2024 ? L’or, cet atout séculaire, continue d’éblouir et de sécuriser les patrimoines des investisseurs avisés. Avec une réputation solidifiée par des millénaires, l’or se distingue comme une véritable ancre dans les tumultes économiques. En cette année décisive, examinons pourquoi l’or mérite une place de choix dans vos investissements.

L’Or et l’Inflation : Un Duo Inséparable

Avec l’inflation grimpant à des sommets inédits, l’or brille par sa capacité à préserver la valeur. Contrairement aux idées reçues, l’or ne se contente pas de suivre l’inflation ; il la devance, offrant un havre de paix lorsque les devises vacillent. Des études récentes révèlent que, sur les 50 dernières années, l’or a surpassé l’inflation 3 fois sur 4, soulignant son rôle crucial dans la protection du pouvoir d’achat.

Au Cœur des Crises : L’Or comme Refuge

Les tensions géopolitiques actuelles mettent en évidence la volatilité des marchés. Les investisseurs, témoins des récents bouleversements, se tournent vers l’or, attestant de sa fiabilité en périodes d’incertitude.

« En 2023, face à la crise, mon investissement dans l’or a été mon bouclier, » partage Julien, un investisseur chevronné, illustrant l’impact tangible de l’or sur la préservation des actifs.

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