Engie, le distributeur d’énergies, veut plus de mesures (subventions, quotas, normes), en soutien à la lutte contre le carbone…
Les subventions pour des groupes comme Engie créent plus de dette et de déficits… et pèsent sur la valeur de l’euro. Protégez-vous de la débâcle avec une poignée de placements.
Engie emprunte et dépense des milliards d’euros sur des projets en lien au programme.
Il vient d’acheter deux centrales à biogaz, et passe ainsi la barre de 1 TWh de production de biogaz. Il a un objectif de plus de 10 TWh avant la fin de la décennie, et prévoit d’investir 3 milliards d’euros…
Rapporte la société dans la présentation aux actionnaires :
“Engie entre dans la deuxième phase de son plan stratégique … avec 22 à 25 milliards d’euros d’investissements dans des projets entre 2023 et 2025, soit 50 % de plus que sur la période de 2021 à 2023.”
Les projets comprennent des renouvelables, des capacités de batteries, et la production de biogaz et d’hydrogène.
En raison des dépenses, le groupe émet des obligations “vertes” à hauteur de 17,65 milliards d’euros, entre 2014 à février 2023, comme vous le voyez ci-dessous.
Vous voyez pourquoi Engie vient de publier une étude en soutien aux subventions et quotas contre les émissions de carbone : les projets du groupe dépendent du programme !
Or, la lutte contre le carbone (via des projets coûteux comme les renouvelables et le biogaz) font partie des raisons à la chute de l’euro en cours. Protégez-vous avec deux métaux spécifiques que vous pouvez acheter tout de suite.
Débâcle du biogaz
Le budget de l’UE contient 600 milliards d’euros de dépenses et de prêts à des projets en lien à l’élimination des émissions de carbone, ce qui contient, selon la commission, “les gaz renouvelables et à faible carbone [dont le biogaz]…”
Par exemple, le programme de relance en Italie, avec le soutien de l’UE, contient 4,7 milliards d’euros pour le biométhane et le biocarburant.
Même avec les aides… le biogaz coûte beaucoup plus que le gaz naturel.
Le graphique ci-dessous, de l’Agence internationale de l’énergie, montre le problème.
Vous y voyez le coût de la production pour les projets de biométhane en vue, autour du monde.
Le graphique vous montre la quantité de production de biogaz, en fonction du coût par MBtu (une unité d’énergie).
Selon l’Agence, le monde peut produire environ 20 Mtoe (équivalent en valeur à 20 millions de barils de pétrole) de biométhane, à un coût de moins de 5 $ le MBtu.
Par contre, les coûts grimpent par la suite.
En comparaison, le gaz naturel, à l’indice américain, coûte moins de 2 $ par MBtu, depuis la baisse du prix en 2023 !
En bref : une minorité des projets de biogaz – pour environ 3 % de la production en vue – peut en théorie faire concurrence au gaz naturel !
Le reste dépend de l’injection – en masse – de subventions !
Les échecs du programme mènent à des hausses de coûts à l’horizon… et des raisons à l’effondrement de l’euro en vue.
Message urgent : Achetez de l’or – et cet autre métal sous-estimé – pour protéger votre argent de la spoliation en vue…
Les dépenses sous contrainte grimpent sans cesse, dans le logement, l’agriculture, ou l’automobile… L’emprise des dirigeants prend de plus en plus d’ampleur.
Face aux projets de dépense des dirigeants, les autorités créent de plus en plus de manœuvres – en vue du contrôle de votre argent…
Limites aux retraits et paiements en liquide… Interdiction de certains fonds d’investissement au travers de la loi Mifid 2…
Les dirigeants veulent à tout prix le maintien de votre argent sous contrôle.
Des chercheurs à Oxford et Cambridge publient par exemple un article récent, qui revient à préconiser la fin des investissements en or… pour la protection de la planète !
De même avec le Bitcoin : des chercheurs de la BCE publient en février 2024 un appel à plus de contrôles sur le placement dans les cryptos… Comme avec l’or, ils citent la protection du citoyen… et de l’environnement.
Vous devriez envisager d’acheter de l’or, tant que vous le pouvez !
Mes analystes recommandent aussi un autre métal précieux… qui n’est ni l’or ni l’argent… et qui a peut-être encore plus de potentiel de hausse en vue.
Le carbone c’est la vie, pas de vie sans CO2, ou alors peut être une vie bactérienne. Le syndrome de Don Quichotte se répand malheureusement dans la société où il faut lutter contre des ennemis imaginaires.