Il semble que les investisseurs commencent à comprendre. Les mauvais chiffres économiques continuent d’affluer , mais jusqu’à présent, la Réserve fédérale a refusé de baisser les taux. Nous avons déjà vu cette histoire, et elle ne se termine jamais bien. On dit souvent que « celui qui hésite est perdu », et dans ce cas, l’hésitation de la Fed pourrait signifier une énorme souffrance économique dans les mois à venir. Jeudi, Wall Street a réagi à l’inaction de la Fed en piquant une petite crise de colère. À un moment donné, le Dow Jones Industrial Average était en baisse de 744 points, et il a clôturé la séance en baisse de 494 points …
Le Dow Jones a perdu 494,82 points, soit -1,21%, pour terminer à 40.347,97 points. Au plus bas de la séance, l’indice composé de 30 valeurs a perdu 744,22 points, soit environ -1,8%. Le S&P 500 a perdu -1,37% pour terminer à 5.446,68 points, tandis que le Nasdaq Composite a glissé de -2,3% à 17.194,15 points. L’indice Russell 2000, l’indice de référence des petites capitalisations qui a rebondi ces derniers temps, a chuté de -3%.
Beaucoup croient encore que la Fed va nous accorder une baisse de taux en septembre.
Mais d’autres s’inquiètent du fait que « la Fed n’agisse peut-être pas assez vite pour maintenir le marché du travail américain en bonne santé »…
Le discours à Wall Street est en train de changer.
Les traders ont longtemps parié sur une baisse des taux de la Réserve fédérale en septembre, et le président de la Fed, Jerome Powell, l’a pratiquement confirmé mercredi.
Cette baisse des taux, attendue dans six semaines, a été intégrée dans les cours des actions, qui ont grimpé ces derniers mois dans l’espoir d’une baisse. Les baisses de taux ont tendance à doper les actions, car elles réduisent les coûts d’emprunt des entreprises et peuvent contribuer à accroître les profits.
Mais aujourd’hui, la peur commence à prendre le dessus, car les inquiétudes grandissent quant au fait que la Fed n’agisse peut-être pas assez rapidement pour maintenir le marché du travail américain en bonne santé.
L’économiste Claudia Sahm est une experte éminente qui est profondément inquiète par l’inaction de la Fed.
Au vu de tous les chiffres inquiétants que nous avons vus ces derniers jours, elle se demande ce qu’ils attendent …
Si la Réserve fédérale commence à préparer le terrain pour des baisses de taux d’intérêt, certains segments du marché s’impatientent que le dîner soit servi.
« Que cherchent-ils ? », a déclaré Claudia Sahm, économiste en chef chez New Century Advisors, sur CNBC juste après la fin de la réunion de la Fed mercredi. « La barre est placée très haut et cela n’a pas beaucoup de sens. La Fed doit entamer ce processus de retour progressif à la normale, ce qui signifie réduire progressivement les taux d’intérêt. »
Le PDG de DoubleLine, Jeffrey Gundlach, utilise un langage encore plus fort.
Il affirme que la Fed risque une récession en n’agissant pas maintenant…
Le PDG de DoubleLine, Jeffrey Gundlach, estime également que la Fed risque une récession en maintenant une ligne dure sur les taux.
« C’est exactement ce que je pense, car je suis dans ce domaine depuis plus de 40 ans, et cela semble se produire à chaque fois », a déclaré Gundlach, s’adressant à Scott Wapner de CNBC dans le cadre de « Closing Bell » mercredi. « Tous les autres aspects sous-jacents des données sur l’emploi ne s’améliorent pas. Ils se détériorent. Et donc, une fois que les choses commenceront à atteindre ce niveau supérieur, où ils devront commencer à réduire les taux, ce sera plus que ce qu’ils pensent. »
Bien sûr, de nombreux chiffres semblent indiquer que nous sommes peut-être déjà aux premiers stades d’une nouvelle récession.
Par exemple, plus tôt dans la journée, nous avons appris que l’indice manufacturier ISM était à nouveau en territoire de contraction le mois dernier …
L’indice PMI manufacturier de l’ISM (Institute for Supply Management) a enregistré 46,8 % le mois dernier, indiquant que l’activité économique du secteur s’est contractée à un rythme plus rapide par rapport au chiffre de 48,5 % de juin.
« Après avoir mis fin à une séquence de 16 mois de contraction en s’élargissant en mars, le secteur manufacturier s’est contracté au cours des quatre derniers mois », explique Timothy Fiore, président du comité d’enquête sur les affaires manufacturières de l’ISM.
De plus, les demandes initiales d’allocations chômage ont atteint la semaine dernière leur plus haut niveau depuis environ un an …
De nouvelles données économiques ont révélé que les premières demandes d’allocations chômage ont augmenté la semaine dernière pour atteindre environ 249 000 demandes. Il s’agit du chiffre le plus élevé depuis août dernier, selon le ministère du Travail. Dans le même temps, les demandes continues, déposées par des personnes ayant perçu des allocations chômage pendant au moins une semaine, ont bondi à 1,877 million. Il s’agit du niveau le plus élevé depuis novembre 2021.
Malheureusement, de plus en plus de licenciements sont à venir alors que des milliers et des milliers d’entreprises se trouvent en grande difficulté dans tout le pays.
Cette semaine, nous avons appris qu’un détaillant de meubles qui avait survécu à la Grande Dépression, à la Grande Récession et à la pandémie de COVID ferme ses 380 magasins et dépose son bilan…
Une chaîne de magasins de meubles vieille de 120 ans va fermer ses 380 magasins après que sa société mère a déposé son bilan — la dernière entreprise physique à céder en raison de frais généraux élevés et d’une dette massive.
Badcock Home Furniture & More, qui possède des magasins dans tout le Sud, a annoncé mardi une vente de « cessation d’activité ».
L’entreprise a été achetée l’année dernière par Conn’s, un détaillant de meubles basé au Texas, qui a déposé son bilan la semaine dernière.
Après 120 ans, voilà comment ça se termine.
Bien sûr, il y a beaucoup d’autres détaillants qui ont également fait faillite cette année…
D’autres chaînes de magasins de meubles, dont Bob’s Stores, Z Gallerie et Mitchell Gold + Bob Williams, ont déposé leur bilan cette année.
Au total, les détaillants américains ont annoncé la fermeture de près de 2 600 magasins en 2024.
Si l’économie américaine est réellement en « bonne forme », comme le prétendent les médias mainstream, alors pourquoi cela se produit-il ?
À mon avis, nous vivons les prémices d’une tempête économique qui va s’intensifier considérablement au cours du second semestre de 2024.
Et les perspectives pour 2025 sont absolument sombres.
Alors, que devriez-vous faire à propos de tout cela ?
À court terme, protégez vos actifs et constituez un fonds d’urgence conséquent. Quoi qu’il arrive, vous aurez besoin de suffisamment d’argent pour payer vos factures.
À long terme, je suis entièrement convaincu que nous allons vivre la période la plus douloureuse de toute notre histoire .
Nos dirigeants prennent des décisions incroyablement mauvaises depuis des décennies, et nous sommes désormais entrés dans une période où les conséquences de ces décisions deviendront évidentes pour nous tous.
Source: theeconomiccollapseblog
Pourquoi investir dans l’or et quand ?
Bonjour,
Cela fait des années que l’on vous explique les raisons pour lesquelles il faut investir une partie de son patrimoine sur l’or.
Si vous suivez ce site, vous savez pertinemment ce qui se passe économiquement et ce depuis des années. nous nous dirigeons non pas vers des jours meilleurs mais bien vers un effondrement économique. Ce que nous affirmons n’est ni politique, ni idéologique mais juste mathématiques et découlant d’innombrables décisions politiques irresponsables depuis 50 ans.
Si vous l’avez compris, nous assistons là à une dépréciation monétaire continue de toutes les devises face à l’or. Si vous prenez la monnaie unique à savoir l’euro, cette devise a perdu plus de 85% de sa valeur depuis son introduction face à l’or. Le souci ce ne sont pas les 85% déjà perdus mais les 15 prochains pourcents qui seront perdus dans les mois et années à venir. Vous devez vous protéger en achetant de l’or ou de l’argent afin de tenter de préserver une partie de votre patrimoine contre cette dépréciation continue. Personne ne le fera à votre place.
A ceux qui vous disent que l’or n’est plus qu’une relique barbare, d’un autre temps et que cela ne sert à rien, je vous prouve l’inverse via le graphique ci-dessous:
Cours de l’or face à l’euro
Pourquoi le cours de l’or devrait continuer à s’apprécier ?
Il y a plusieurs aspects:
1 – La dette ne cesse d’augmenter depuis des années. Elle est devenue incontrôlable et ne cessera pas de croître dans le temps
2 – Le déficit ne cesse de se creuser année après année et à travers le temps…
3 – Incapable de rembourser sa dette, il faudra emprunter toujours davantage d’argent « Dette » chaque année afin de tenter de maintenir debout cette immense montagne d’endettement.
Regardez ci-dessous les montants records empruntés chaque année par la France….
2019 – La France va emprunter 200 milliards en 2019
2021 – Dette publique : comment la France compte emprunter 260 milliards en 2022
2022 – L’Etat empruntera 270 milliards d’euros en 2023, un record
2023 – Dette : la France empruntera 285 milliards d’euros sur les marchés en 2024, du jamais vu
Tout cet argent crée puis prêté et qui ne sera jamais remboursé sort de nulle part, ne repose sur aucune création de richesse et finira par s’ajouter à la dette déjà existante… ce n’est que de l’impression monétaire et une promesse qui ne sera jamais tenue. Et plus vous imprimez, plus la valeur du billet que vous détenez en portefeuille se déprécie. Il faut donc vous protégez de cette perte de valeur en achetant de l’or.
Il n’y a aucune solution à ce problème qui va s’accélérer mois après mois et année après année.
c’est la raison pour laquelle les marchés boursiers, immobiliers, obligataires, de l’art et de l’automobile sont dans une méga bulle et que cette vague inflationniste se répand désormais sur les biens courants en raison du trop plein d’argent crée de nulle part.
Ce cycle va se poursuivre et allez jusqu’à son terme. Détenez de l’or et de l’argent afin de vous protégez des effets néfastes à venir sur votre patrimoine qui risque de se déprécier de 60 à 90% dans les 5 prochaines années.
A la question quand y investir ? Il faut profiter de périodes où l’or se met à consolider ou à baisser pour acheter de petites quantités.
L’Or en 2024: Pour plus d’informations, lisez en dessous.
Est-ce que votre portefeuille est prêt pour 2024 ? L’or, cet atout séculaire, continue d’éblouir et de sécuriser les patrimoines des investisseurs avisés. Avec une réputation solidifiée par des millénaires, l’or se distingue comme une véritable ancre dans les tumultes économiques. En cette année décisive, examinons pourquoi l’or mérite une place de choix dans vos investissements.
L’Or et l’Inflation : Un Duo Inséparable
Avec l’inflation grimpant à des sommets inédits, l’or brille par sa capacité à préserver la valeur. Contrairement aux idées reçues, l’or ne se contente pas de suivre l’inflation ; il la devance, offrant un havre de paix lorsque les devises vacillent. Des études récentes révèlent que, sur les 50 dernières années, l’or a surpassé l’inflation 3 fois sur 4, soulignant son rôle crucial dans la protection du pouvoir d’achat.
Au Cœur des Crises : L’Or comme Refuge
Les tensions géopolitiques actuelles mettent en évidence la volatilité des marchés. Les investisseurs, témoins des récents bouleversements, se tournent vers l’or, attestant de sa fiabilité en périodes d’incertitude.
« En 2023, face à la crise, mon investissement dans l’or a été mon bouclier, » partage Julien, un investisseur chevronné, illustrant l’impact tangible de l’or sur la préservation des actifs.
Le Service Premium de L’ONCE D’OR : Votre Allié
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Pourquoi l’Or en 2024 ?
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