Il n’y a que nos dirigeants, nos politiques et nos sympathiques gens de gauche qui aiment à détester les vilains “riches” qui pensent qu’un épargnant ira placer volontairement son argent dans un actif qui va lui faire perdre de l’argent, en plus parfois de sa santé mentale quand il faut s’occuper de locataires plutôt indélicats.
Dans la vraie vie, les épargnants passent leur chemin.
Avec ce rapport cité par les Echos, nos politiques ne comprennent même pas le problème colossal posé par la fiscalité qui rend l’investissement immobilier tout simplement perdant. Non rentable.
Mieux, ils augmentent les normes et rendent des travaux obligatoires. Ils obligent les propriétaires à investir encore plus et des dizaines de milliers d’euros, sans que ces derniers aient le retour sur investissement dont les locataires sont les bénéficiaires grâce aux économies d’énergie de quelques centaines d’euros par an réalisées grâce aux dépenses en milliers d’euros des méchants propriétaires.
Ils s’étonnent et ne comprennent toujours pas les causes de la crise immobilière… et de la disparition des investisseurs.
Je suppose qu’ils finiront, comme à chaque fois, par alourdir encore un peu plus la fiscalité. Ils ne savent faire que cela.
Au bout du compte, il faudra rendre l’investissement immobilier obligatoire à hauteur de 10 % de votre épargne disponible.
Charles SANNAT
« Insolentiae » signifie « impertinence » en latinPour m’écrire [email protected]Pour écrire à ma femme [email protected]Vous pouvez également vous abonner à ma lettre mensuelle « STRATÉGIES » qui vous permettra d’aller plus loin et dans laquelle je partage avec vous les solutions concrètes à mettre en œuvre pour vous préparer au monde d’après. Ces solutions sont articulées autour de l’approche PEL – patrimoine, emploi, localisation. L’idée c’est de partager avec vous les moyens et les méthodes pour mettre en place votre résilience personnelle et familiale.« À vouloir étouffer les révolutions pacifiques, on rend inévitables les révolutions violentes » (JFK)
Source: insolentiae – Voir les précédentes interventions de Charles Sannat