Sur base de la doctrine qui fut définie le mieux par un haut responsable de la Maison Blanche lorsqu’il l’a qualifiée « nous somme les États-Unis, enfoirés », Trump s’est engagé dans une bataille commerciale tellement égoïste qu’il a fait réagir le FMI. Christine Lagarde, patron du fonds monétaire international, craint des conséquences graves pour l’économie mondiale.
Ce lundi, elle a déclaré que la remise en question de l’équation commerciale mondiale impacte la confiance des entreprises de par le monde, et que cela aura des conséquences néfastes sur l’économie planétaire.Alors que les prévisions de croissance du FMI, de 3,9 % pour 2018 et 2019, n’ont pas été modifiées, la suite risque de ne pas être rose.« Les nuages qui pointent à l’horizon et que nous avons signalés il y a environ 6 mois deviennent plus noirs de jour en jour, je dirais même de week-end en week-end », a déclaré Lagarde, faisant allusion aux bouffonneries dignes des meilleurs cirques de Trump au G7.Simultanément, Washington est de plus en plus prévisible, Twitter devenant la plate-forme majeure de communication de décisions de politique étrangère aussi importantes qu’unilatérales, sans filtre diplomatique ou réflexion approfondie. Dans un tel contexte, ce n’est pas du tout une surprise si The Atlantic a cité un haut responsable de la Maison Blanche qui a défini la doctrine Trump précisément par la phrase « Nous sommes les États-Unis, enfoirés » (sic).
En fait, cela semble être une idéologie à part entière (des t-shirts vont suivre, c’est presque garanti). Mais, après ce sommet du G7, l’Amérique pourrait se retrouver avec des alliés qu’elle pourra compter sur les doigts d’une main. Cette doctrine fantasque pourrait devenir une plaine de jeux philosophique qui détruira la confiance des entreprises.
Egon Von Greyerz: “Pendant que l’or monte, le monde se rapproche du précipice” Egon Von Greyerz: “L’état réel de l’économie mondiale est inquiétant !”
« Le nuage le plus massif et le plus sombre que nous voyons est celui de la détérioration de la confiance. Il s’agit du résultat de la tentative visant à remettre en question la façon dont les échanges internationaux se font. Les nations géraient leurs relations bilatérales, des organisations multilatérales avaient leur mot à dire », a déclaré Lagarde suite à une réunion à Berlin avec la chancelière allemande Angela Merkel et les responsables de ces grandes organisations telles que l’OMC et la Banque mondiale.
La grosse gifle magistrale c’est pour le jeudi 21 juin prochain 😉
Il y a longtemps que le train de l’économie mondiale est
sortie des voix, et que l’on attend plus que le déraillement final…
Tout les fondamentaux de l’économie ont été violé et renié depuis
longtemps, au profit du copinage et d’intérêts particuliers !
Certains on créer de la dette que pour enrichir que les plus riches !
Monsieur le Président MACRON qui brade les bijoux de famille
de la France à des étrangers, que dire ?!
N’est ce pas une forme de Haute Trahison ?!
On n’est plus dans la Logique économique,
mais dans la Folie économique…
quand tout ne veut plus rien dire !
Les américains ont préféré Trump (un fou intelligent), à Hilary (une folle débile).
Pour ce qui est de Lagarde, elle n’est pas en position de donner des leçons, car en tant que ministre de l’économie sous Sarko, elle n’a pas brillé, le mot « ministre » n’est pas approprié, je le remplacerai plutôt par « sinistre », il n’y a qu’une lettre à changer.
Toujours le Trump/anti-Trump, on n’en sort pas.
La plupart des gens, s’ils devaient choisir de passer leurs vacances avec Trump ou Obama, pencheraient pour le second.
Ceci dit, il faut, avant de dresser le bilan de Trump, analyser celui d’Obama, et il est désastreux sur tous les plans : social, politique internationale déplorable, politique intérieure idem, des millions de victimes collatérales des guerres menées par Obama et les USA, recul du niveau de vie des américains (1) notamment et surtout celui des noirs, ingérence sans précédent de la part des USA dans les affaires de la plupart des pays de la planète, Orwellisation de la société, non fermeture de Guantánamo, agression et répression voire boycott des pays musulmans, paupérisation des classes moyennes, créations de « jobs à la con » payés au tiers d’il y a tout juste 10 ans, transfert de la responsabilité des dérives bancaires sur les clients des banques, explosion de la dette US, etc.
Si le doute persiste dans l’esprit de quelques aficionados d’Obama, l’élection de Trump est la marque cinglante et sans appel de son échec. Si la politique d’Obama avait été aussi merveilleuse que le disent certains et que le prétend, en filigrane, cette chère Christine Lagarde, un autre démocrate aurait été élu dans un fauteuil, mais là c’est Donald.
Christine Lagarde, momie ambulante cramée aux UV, ancienne Ministre d’un gouvernement français, de l’économie notamment, de 2007 à 2011, avec les résultats que chacun peut apprécier (!), actuelle patronne du FMI, s’en vient donner des leçons d’économie à Trump. Ce dernier ayant à son actif d’être devenu milliardaire en gérant ses affaires, quand à Mme Christine, on attend encore qu’elle démontre ses compétences, en ce compris le domaine économique.
(1) ici il y aura toujours un économiste qui va expliquer que ce n’est pas vrai, courbes et moyennes à l’appui pour étayer ses thèses foireuses, comme si additionner le revenu de très riches avec ceux de moins riches (les 2 catégories ayant vu, elles, leurs revenus s’accroître considérablement sous Obama) et d’une majorité écrasante de pauvres, avait la moindre signification !
L’ultra capitalisme américain a fait de la délocalisation vers l’Asie depuis 30ans, avec un résultat d’une Chine plus riche que riche, leader mondial et d’une pauvreté aux USA sans précédent (50 millions ont le droit au ticket alimentaire gratuit).
Peut etre que Trump la compris.
Nous verrons.