C’est une rentrée de tous les dangers pour l’économie française. Il y a d’abord le contexte européen. Au Royaume-Uni, le Brexit n’a pas encore réellement commencé que déjà les premières fissures apparaissent dans l’immobilier, le principal pilier de la croissance britannique. Et s’il est encore possible de se raccrocher aux indicateurs les plus récents comme les ventes au détail où l’évolution du marché du travail, cela n’est qu’une question de temps : la croissance va se dérober de l’autre-côté de la Manche avec ses conséquences en cascades sur ses principaux partenaires. […]
Source: xerficanal
Mdr il était temp pour les panneaux domage qu’il les a pas sortie quand sa voté pour l’entrée dans l’Europe ont dit il et jamais trop tard il les a sortie pour la sortie c’est déjà pas mal
Le 13 juin il nous annonçait fièrement que la zone euro allait BEAUCOUP mieux :))
N’écouter que votre bon sens. http://www.capital.fr/a-la-une/videos/xerfi/enfin-la-reprise-en-zone-euro-mais-que-de-sacrifices-inutiles
bien sur tout est la faute du brexit , mais jamais de notre appartenance a l UE qui nous a amené à une faillite industrielle en interdisant ,via les traités europeens , de s opposer aux delocalisations massives , puis aux orientaions politiques et economiques ultra liberales ert austeritaires imposées aux nations avec le resultat que l on connait aujourdhui https://www.youtube.com/watch?v=cTecC6cclwc
Je l’aime bien le père Asselineau, c’est qu’il est couillu le bougre, il aurait bien plut à ce vieux (pour moi à l’époque) forgeron gaulliste comme pas un.
Enfin, même si je ne suis pas totalement en accord idéologique avec lui, c’est, assurément, lui et son parti qui profiteront de mon bulletin, ne serait-ce qu’en raison de l’intense travail que son équipe fit en amont qui permettra au pays de se reconstruire rapidement.
En effet, je comprends tout à fait que Monsieur Asselineau et ceux de son parti ne puisse aborder la faillite mondiale venant, on ne change pas de stratégie au milieu du gué, non?
Pour l’instant l’U.P.R. suit un développement égale depuis plusieurs mois, soit, en moyenne, un petit peu plus de sept adhérents jour.
Il n’a pas encore atteint le point critique où ce nombre viendrait à augmenter de manière exponentielle, du-moins a-t-il atteint celui voyant la connaissance du publique croitre, ce qui n’est déjà pas si mal.
Ce temps lui a été nécessaire, lui permettant d’assoir lentement son organisation, de former des cadres et de s’étendre dans le pays.
De plus, il commence à être connu dans les cénacles politiques, politiques qui, bientôt, ne sauront plus à quel saint se vouer (il est à noter là-dessus que les diverses divagations des pré-candidats à l’élection présidentielle proviennent, pour une large part, de ce début d’affolement qui ne pouvait que se produire dès que le système économique international commencerait à se montrer chancelant), nombre d’entre-eux sauront retourner avec légèreté et élégance une veste déjà trop lourde pour eux.
Pour les autres, les plus atteint idéologiquement, risqueraient fort de décompenser, ce qui veut dire qu’ils pourraient très bien commencer à clairement délirer, cachant, par le passé, par leur unilatéralité doctrinale, une grave souffrance psychique ne pouvant qu’exploser à ce moment là.
La tâche la plus ardue devant laquelle Monsieur Asselineau devra faire face ce serait qu’il pourrait bien de se retrouver au-devant d’un vide partisan abyssal en tant que contrepouvoir au vu de l’effondrement idéologique actuel.
Cet effondrement est visible par l’unité dogmatique actuel, de ce qui est nommé la gauche, voire l’extrême gauche (un militant de Lutte-Ouvrière avait ainsi pété un câble quand je lui avait affirmé la disparition des U.S.A.) jusqu’à l’extrême droite, ainsi Madame Le Pen fut-elle invitée par les milliardaires américains et élue femme de l’année 2015 en Europe.
Cette unité dogmatique, plus ou moins prononcée, monsieur Mélenchon et le P.G., tout comme le groupe des iconoclaste, par exemple, voulant se débarrasser de l’euro tout en conservant l’U.E., ce qui est bien sûr impossible, unité, donc, n’étant que le prémisse de la disparition d’un ensemble doctrinal que j’ai nommé économisme dogmatique, de près de deux siècles d’existence, qui avait de point central la seule pensée économique au dessus de toutes les autres considérations sociales.
Les défis que Monsieur Asselineau aura à surmonter seront immenses, d’autant plus, comme je viens de l’écrire, que ce pourrait être tout la classe politique actuelle qui pourrait disparaître d’un coup en même temps que l’économie mondiale plongera dans sa faillite, que l’empire U.S. se délitera plus ou moins rapidement, avec ou sans guerre civile, une Union-Européenne qui s’évaporera dès que son maître U.S. ne lui passera plus d’ordre, qu’une Allemagne s’égarera entre des réfugiés dont elle ne saura plus que faire et un système bancaire détruit et d’une oligarchie européenne devenue aphone ou totalement délirante.
Alors, gens de l’U.P.R., tenez-vous prêts, ce temps s’approche où vous risqueriez de devenir le seul parti politique de France à exister, avec à la marge de petits partis communistes, voire anarchistes, comme seuls contrepouvoirs, un travail immense à accomplir au vu de la destruction du tissu industriel et agricole, nourrir la population, rebâtir des usines, refaire une agriculture, contenir les mécontentements, les désordres et les agitateurs de tous poils, organiser les petits échanges de survie, le troc, tout ceci d’autant plus que le commerce international aura quasiment fermé ses portes et que les combustibles ne seront plus fournis.
Votre parti Monsieur Vieron, est le seul à pouvoir nous sortir de la mouise dans laquelle nous seront bientôt et qui durera cinq à sept longues années quand, ensuite, se présagent déjà d’autres difficultés bien plus terrifiantes encore, entre la Chine et l’Inde.
Comme je l’ai dis bien avant, tout cela est logique, tellement logique, il ne suffit que de prendre le bon bout de la ficelle pour en saisir toute la bobine, d’en démêler l’écheveau, je suis un observateur, mon rôle est de voir, comprendre et avertir, c’est pourquoi je n’adhèrerais à aucun parti politique, ne prenant seulement réellement position que lors de mon devoir de citoyen, dans l’isoloir, c’est là le rôle que je me suis attribué et auquel je reste fidèle.