Bon, de vous à moi, ce n’est pas simple d’expliquer le fonctionnement des obligations, comment ça marche, et pourquoi ça marche ainsi et comment du coup se produisent les krachs obligataires.
Pourtant, c’est un effort à faire de la part de tous ! De la mienne pour être compréhensible sans être simpliste, et de la vôtre car vous allez, nous allons vraisemblablement vivre un gros, un énorme, que dis-je un colossal krach obligataire.
Enfin, disons qu’il y a une probabilité non-négligeable que cela arrive.
Autant donc savoir avant tout ce que cela signifie.
Pourquoi ?
Encore une fois mes amis, le savoir et la connaissance libèrent !
N’hésitez pas à partager tous ces articles et toutes ces vidéos. Elles sont faites pour émanciper intellectuellement nos concitoyens.
Charles SANNAT
Krach obligataire: pourquoi ce n’est pas de la science-fiction… Simone Wapler: Si les taux restent bas, les assurances vie s’écroulent. Si les taux montent, le système bancaire explose
Source: insolentiae – Voir les précédentes interventions de Charles Sannat
Super vidéo, merci énormément.
J’aurais bien aimé avoir un Focus aussi sur les conséquences au niveau étatique et pas uniquement au niveau particulier.
Bite, coin … Laisser traîner son engin dans les coins, c’est uniquement pour investisseurs avertis avec de super logiciels pour pouvoir se retirer à temps, avant d’enfanter un désastre sur son propre patrimoine 😀 😀 😀
Et comme aurait pu le dire Bruce Lee ou Jean-claude Van Damme : « L’or çà ne se mange pas !!! » 😛
Une hausse du marché obligataire ??? Tout au plus un réajustement suite aux annonces des banques centrales de diminuer leur flux d’achat d’obligations pourries. Les fonds de pension se porte donc mieux et la BCE peut toujours demander aux états membres de lever un impôt pour financer l’impayable des taux négatifs ➡ Nous sommes déjà esclaves, mais pas plus que Marc Aurèle 😉
Et le bitcoin peut etre neutralise et interdit !
Car qui controle les acces a Internet ?!
Des companies, mais les Etats bien sur…
Donc plus fragile et virtuel que le Bitcoin,
je ne connais pas !
Sauf que l’or il faudra venir vous le prendre par la force chez vous
Dans ce cas les chinois,les indiens, les asiatiques qui ont souvent leur économies en lingot d’or, bijoux,pièces d’or sont des ânes soit la moitié de la population.
Allez leur vendre votre bitcoin avec seulement 1 euro le conseil vous y ferez fortune
Punaise mais vous ne pigez rien à la façon de penser des asiatiques et des Indiens
Ces gens achètent de l’or pour préserver leurs économies dans le temps PAS pour s’enrichir vous pigez?
Contrairement à vous ces gens ne font pas confiance aux banques ni aux monnaies virtuelles, ils croient dans un modèle qui à fait ses preuves depuis des centaines d’années,la pièce d’or qui à 200-300 ans elle vaut toujours quelque chose en 2017
Toujours très bon pédagogue. Un plaisir de l’écouter. Une très bonne vidéo hier, sur le JT de l’or pour les anxieux.
Depuis le temps que vous en parlez !
Voila voila xD https://www.youtube.com/watch?v=DTMHLTvyn3w
C’est la carricature même du retraité qui s’ennuie et donc, fait chier son monde 😀
Dans la Bible il est fait mention que vers la fin, les humains jetteraient leurs valeurs, or et argent dans les rues; je suppose qu’il y a un certain rapport avec les obligations.
N’oublions pas que chaque lingot réel a été vendu à de nombreuses personnes en même temps.
Cela ressemble à un avion qui va se kracher, qui ne dispose que de 6 parachutes pour plusieurs centaines de passagers, mais tous les passagers disposent d’un titre de transport avec le droit au parachute ; bonjour l’ambiance.
Il ne faut pas oublier, que certains croient posséder des lingots d’or, mais en réalité ce sont des lingots fourrés au tungstène car il a une densité (poids) assez semblable à l’or (or = 19,32 ; tungstène = 19,35) ; ils risquent de mal accepter la supercherie.
C’est l’or papier que les riches vont jeter dans la rue….
J’en peux plus de ces citations, de plus elles n’ont rien à voir avec l’article en question donc je comprends pas le délire.
Bien le prof Sannat aujourd’hui