Charles-Henri Gallois: « Le gouvernement a fait voter en Commission la fin des tarifs réglementés sur le gaz et l’électricité ! Une mesure qui va encore coûter « un pognon de dingue » aux Français et diminuer le pouvoir d’achat. Une mesure qui est surtout demandée par l’UE ! » Lien Amendement Assemblée Nationale
Charles Sannat: “Le plan économique de Macron conduira la France au désastre !” Pierre Jovanovic: Si Macron est élu, la France n’existera plus.
Source: Charles-Henri Gallois
A l’intention des lecteurs du site BusinessBourse
Nous sommes à la veille d’un tournant majeur dans l’économie mondiale. Pour les très rares personnes qui ont des actifs à protéger, le moment est venu de sortir des bulles d’actifs, comme je le recommande depuis longtemps. Il est également temps de détenir de l’or et de l’argent physique comme assurance pour son patrimoine. Les métaux précieux atteindront des niveaux sans précédents, voire non envisageables aujourd’hui avec l’hyperinflation.
Pour ceux qui pensent avoir peu de moyens, rappelez-vous que vous pourriez acheter 1 gramme d’or par mois, ou plus, ce qui coûte aujourd’hui 43 $. Au fil du temps, cela vous permettra d’accumuler un important pécule.
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Pas voulu par l’ᴜᴇ directement…
Il aurait suffit de faire comme avec le livret A en autorisant les autres fournisseurs a distribuer le tarifs réglementé.
Bon pour le coût, sa fera 60% à 70% d’augmention d’un coup. La voiture électrique ne sera plus du tout compétitive (et de loin) face à l’essence (bon pour info, du coté carburant ou il n’y a pas de tarifs réglementé, le méthane est au alentours de 1,10€ le m³ hors ᴛᴘɪᴘ ce qui donne une idée d’à quel sauce on va être mangé).
Emmanuel Macron est un agent de la finance ashkénaze…
Milton Friedman (1913-2016), prix Nobel d’économie en 1976, à l’origine conseiller au Département du Trésor des États-unis et défenseur du Keynésianisme, devenu en 1946 professeur d’économie à l’Université de Chicago, a fini par se tourner vers l’ultralibéralisme et par développer avec d’autres économistes de renom un courant de pensée baptisé l’école monétariste dite « de Chicago ». Auteur de nombreux ouvrages, il a publié en 1962 Capitalisme et liberté où il explique sa théorie selon laquelle la réduction du rôle de l’État dans une économie de marché est le seul moyen d’atteindre la liberté politique et la liberté économique. Il y critique le New Deal et l’État providence et y défend avec ferveur le capitalisme, ce qui va lui valoir une grande notoriété. Plus tard, Milton Friedman s’est efforcé de démontrer la supériorité du Libéralisme économique sur les autres systèmes économiques. Il est considéré comme l’un des économistes les plus influents du XXème siècle. Milton Friedman a marqué une pensée économique dont les prescriptions s’opposent de front à celle du Keynésianisme. Il est à l’origine de l’idée d’une hiérarchisation dans les types de liberté. Selon lui, la liberté économique est plus importante que la liberté politique. Dans certaines circonstances la liberté politique joue en faveur des libertés économiques et civiques mais dans d’autres, elle les entrave. Selon lui, à quoi bon avoir le droit de vote si on ne dispose pas de la liberté de produire ou d’acheter quelque chose ? Si l’autorité politique détient l’ensemble des moyens de production et l’ensemble des biens de consommation, et si cette autorité ne souhaite pas vous en céder quoi que ce soit, alors votre droit de vote, votre droit d’éligibilité, votre liberté ne vous seront d’aucune aide pour survivre. Aussi la liberté économique l’emporte-t-elle, pour lui, en importance sur la liberté politique puisque cette dernière peut avoir des conséquences nuisibles pour les individus. Il faut bien saisir que la liberté économique est une composante de la liberté au sens large, aussi est-elle pour lui une fin en soi. De fait, elle est indispensable comme moyen
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d’obtenir la liberté politique. L’accroissement même de la liberté économique renforce la liberté politique des individus. Pour Friedman, l’accroissement de la liberté économique va de pair avec l’accroissement des libertés civiles et politiques. Il a développé cette thèse dans une « théorie du pouvoir et de la balance des pouvoirs ». Pour lui, la préservation de la liberté requiert l’élimination la plus complète possible de la concentration du pouvoir, en même temps il faut dispenser et partager la partie du pouvoir qui ne peut être éliminée. Cela exige un système de contrôle et de contrepoids. En enlevant à l’autorité politique tout droit de regard sur l’organisation de l’activité économique, le marché supprime une source de pouvoir coercitifs, il permet à la puissance économique de servir de frein à l’action du pouvoir politique. Il est donc nécessaire de séparer et opposer le pouvoir politique et le pouvoir économique plutôt que de chercher à les concentrer. Friedman a par ailleurs développé la théorie du « revenu permanent » selon laquelle les gens prennent des décisions (politiques, économiques, ou autres) en fonction de leurs revenus, et notamment des revenus qu’ils anticipent sur le long terme. Cela, dit-il, favorise la politique de relance de l’économie, que Keynes considère comme inefficace, car elle ne permet pas une croissance de la consommation. Avec cette théorie et l’introduction du taux de « chômage naturel », Friedman a remis en cause le bien-fondé des politiques de relance qui, pour lui, ne permet que de provoquer de l’inflation contre laquelle il faut lutter. Et dans cette perspective il a proposé l’instauration d’un taux constant de croissance de la masse monétaire. Comme nous l’avons compris, l’économiste américain s’oppose totalement à l’intervention de l’État dans l’économie. Pour lui, l’État possède un pouvoir arbitraire sur l’économie. Son l’intervention notamment sur la masse monétaire conduit à des perturbations inopportunes par les répercussions inflationnistes qu’une telle politique favorise. L’augmentation de la masse monétaire est selon lui responsable de l’inflation, qui est comme une drogue car si elle stimule dans un premier temps l’activité économique elle le fait au détriment des mécanismes naturels, ce qui provoque un emballement qui nécessite alors une purge. Il rejette par ailleurs tout pouvoir d’action des gouvernements sur le marché des changes, préférant l’enterrement du Système de Bretton Woods et son remplacement, avec la fin des barrières protectionnistes, par un système de changes flottants, qu’il justifie par l’ajustement que ce système permet entre les devises des pays inflationnistes et des pays non inflationnistes :
Suite…
Système de changes flottants (depuis 1971) : Le système de changes flottants ne comporte pas pour l’instant d’étalon monétaire international auquel chaque devise pourrait faire référence. Le cours des monnaies varie au jour le jour, s’appréciant ou se dépréciant, mais sans instrument de mesure commun de cette appréciation ou dépréciation.
La fin des barrières protectionnistes : Selon son étymologie, ce terme vient du latin protegere qui signifie protéger, abriter, couvrir, garantir. Le protectionnisme désigne la politique et les pratiques d’un État qui intervient dans la Chrématistique afin de défendre ses intérêts et ceux de ses entreprises face à la concurrence étrangère et de maintenir ou développer ses propres forces de production. Le protectionnisme peut se mettre en place sur un ou des secteurs particuliers de l’économie.
Pour Friedman, l’État doit intervenir de manière très modérée dans l’économie et se contenter de fixer les règles du jeu et de se faire l’arbitre de ces règles. Friedman a cependant quelques doutes sur la liberté économique. Celle-ci incite les individus à se spécialiser dans le domaine de production où ils sont les meilleurs, ce qui a pour conséquence de les rendre de plus en plus interdépendants les uns des autres.
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L’interdépendance interindividuelle seule, quant à elle représente effectivement une baisse de liberté en un certain sens pour les individus. Mais si on prend l’ensemble des autres implications de la spécialisation et de l’interdépendance on se rend compte alors que loin de réduire la liberté des individus elles l’accroissent. En effet, en se spécialisant dans les domaines où il est le plus performant, chacun acquiert la possibilité de pratiquer davantage ce en quoi il est le meilleur. Or, si on postule un lien entre intérêt et motivation et un lien entre motivation et performance alors cela signifie que l’individu est plus performant dans le domaine qui l’intéresse. La liberté économique et l’interdépendance qu’elle implique renforcent la liberté individuelle au lieu de la réduire. L’École de Chicago a trouvé un laboratoire géant dans la mise en pratique de sa doctrine au Chili grâce au coup d’Etat du Général Augusto Pinochet en septembre 1973(aidé par la CIA et financé par ITT Oceanic). Puis le modèle sera appliqué au monde anglo-saxon, aux États-unis par Ronald Reagan et au Royaume-Uni par Margaret Thatcher. En France, elle influence des politiciens ambitieux comme Emmanuel Macron, François Fillon, Valéry Giscard d’Estaing qui sera élu Président de la République française sur le thème :’’La société Libérale avancée’’, juste après la loi du 3 janvier 1973 sur la Banque de France qui a précisé les conditions autorisant l’État à emprunter à la Banque de France, loi élaborée à l’initiative de Valéry Giscard d’Estaing et appelée par l’extrême droite française loi Pompidou-Giscard- Rothschild. Friedman est en fait un Libertarien11, qui nous présente sa déformation du réel, un libéralisme avec une ‘’philosophie’’ qui par définition est la recherche de la Vérité, mais qui chez lui est une propension à l’erreur avec un gouvernement limité et très peu centralisé (Ceux qui gouvernement vraiment sont ‘’invisibles’’). L’Église catholique nous enseigne par le biais de l’Encyclique de Léon XIII Rerum Novarum une position diamétralement opposée sur l’entreprise et à cette perversion (qu’elle ne connaissait pas encore) à cette approche libérale libertarienne de Milton Friedman. Sa vision serait même utopique et pourquoi pas fouriériste ?
d) Le Mondialisme ou L’Ultralibéralisme, achèvement du Néo-libéra
Euh, ça veut dire quoi ashkénaze?