Un projet budgétaire aux conséquences explosives
Le gouvernement français s’apprête à franchir un cap décisif, potentiellement dévastateur, dans sa gestion du déficit public. François Bayrou, en charge de la planification budgétaire, doit dévoiler d’ici la mi-juillet un projet censé ramener le déficit sous les 3 % d’ici 2029. Pour y parvenir, les marges de manœuvre fiscales étant désormais réduites à néant, l’exécutif pourrait suivre les recommandations de l’Institut des politiques macroéconomiques et internationales (i-MIP), qui suggère de réduire drastiquement les transferts sociaux. Autrement dit, les retraites et les allocations chômage seraient dans le viseur. Une telle mesure, si elle est mise en œuvre, frappera de plein fouet les classes moyennes et les plus précaires. Dans ce climat de forte incertitude budgétaire et sociale, de nombreux Français réorientent déjà leur épargne vers des valeurs refuges tangibles, comme l’achat d’or physique pour préserver leur patrimoine.
Retraites et indemnisation chômage : vers une régression historique ?
L’étude du i-MIP, pourtant très technique, soulève une problématique majeure : l’État doit réduire ses dépenses, mais sans freiner l’activité économique. Les auteurs de ce rapport affirment que baisser les transferts assurantiels serait « moins destructeur » pour la croissance que d’augmenter encore les prélèvements obligatoires. Cette vision purement macroéconomique oublie toutefois l’impact humain. Baisser les pensions et l’indemnisation des chômeurs, c’est retirer brutalement du pouvoir d’achat à des millions de foyers déjà fragilisés par l’inflation persistante. Cela revient aussi à fragiliser la cohésion nationale dans un contexte de défiance généralisée envers les élites. Cette réalité pousse de plus en plus de citoyens à chercher des solutions de protection alternatives. Parmi celles-ci, l’or s’impose comme un actif sûr, indépendant des décisions politiques et insensible à l’effondrement potentiel des systèmes sociaux.
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— Les Echos (@LesEchos) July 1, 2025
Une austérité déguisée en relance
Le plus inquiétant dans cette stratégie réside dans sa présentation. Plutôt que d’assumer une politique d’austérité, le gouvernement pourrait faire passer ces mesures comme un « ajustement structurel » nécessaire à la relance. Pourtant, l’histoire économique récente démontre que ce type de démarche, souvent promu par des économistes keynésiens dévoyés, ne stimule pas durablement la croissance. Elle creuse au contraire les inégalités, casse la consommation intérieure et alimente les tensions sociales. Or, quand l’État déstabilise ses propres filets de sécurité, les citoyens n’ont d’autre choix que de sécuriser eux-mêmes leur avenir. C’est dans cette logique que l’investissement dans l’or devient une assurance patrimoniale incontournable face aux politiques publiques imprévisibles et parfois destructrices.
La fin d’un contrat social tacite ?
Depuis la Seconde Guerre mondiale, la France repose sur un compromis implicite : un État-providence fort en échange d’une fiscalité lourde. En attaquant frontalement les retraites et le chômage, ce contrat social vole en éclats. La justification avancée – réduire le déficit – sonne creux auprès d’une population qui observe, impuissante, l’explosion continue de la dette publique et la multiplication des dépenses électoralistes. Cette trahison institutionnelle marque un point de bascule. Les Français n’ont jamais été aussi nombreux à douter de la pérennité du système. Dans ce contexte de défiance totale, l’or conserve son rôle historique de valeur refuge, à l’abri de la manipulation monétaire et des promesses non tenues.
Préparer sa défense avant le choc
Si ces orientations budgétaires sont validées, les conséquences ne se feront pas attendre. Une baisse des pensions réduira immédiatement la consommation des retraités. Une diminution des allocations chômage limitera la capacité des demandeurs d’emploi à subvenir à leurs besoins. Ces deux mesures combinées entraîneront un ralentissement brutal de l’activité domestique. Pire encore, elles pourraient déclencher une spirale de mécontentement social, d’instabilité politique, voire d’exode fiscal. Pour éviter d’en subir passivement les effets, les Français doivent anticiper. L’une des méthodes les plus simples et les plus efficaces reste l’acquisition de métaux précieux, qui ne dépendent d’aucune banque centrale et échappent au contrôle gouvernemental.
Conclusion : vers une ère de précarité programmée ?
Ce qui était encore inimaginable il y a quelques années devient aujourd’hui la base d’un consensus économique inquiétant : pour réduire la dette, il faudrait sacrifier les plus fragiles. Ce tournant marque une rupture profonde dans la manière de gouverner. En lieu et place de réformes structurelles courageuses, on assiste à un transfert brutal du fardeau vers les individus. Il devient donc impératif pour chacun de prendre ses précautions. Dans ce chaos prévisible, l’or représente une protection essentielle contre l’érosion monétaire et l’instabilité politique. Le futur sera incertain, mais ceux qui auront préparé leur défense auront une longueur d’avance.
Mais surtout pas toucher à la CAF pour les subsahariens , les 7 millions de fausses cartes vitales et les retraités âgés de 150 ans en Algérie.