Delamarche: « On se fait financer par le Qatar et l’Arabie Saoudite car quand on a pas d’argent, on fait la pute ! »

Les gars, il ne faut pas être un grand génie des maths pour savoir que ce qui se profile, c’est la faillite de l’Etat et des français par la même occasion. Nous avons un déficit constant de plus de 80 milliards. A 40.000 euros le bout du fonctionnaire, et en cas de défaut de la France, c’est à dire son incapacité à emprunter demain pour payer ces salaires à crédit sur le dos de nos enfants, ce sont juste 2,5 millions de fonctionnaires qui vont instantanément perdre et leur travail, et leurs retraites.
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Il n’y a aucune solution autre que :
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1) Privatiser tous les services publics non régaliens, et veiller à ce qu’ils soient convenablement gérés.
2) Responsabiliser les élus en arrêtant de les payer sur des promesses, seulement sur des résultats, les faire condamner s’ils échouent à gérer correctement l’argent qu’ils ne gagnent pas aux mêmes peines que tous les autres, tout ceux qu’ils sont censés servir.
3) Interdire aux médias d’être détenus par de riches banquiers et industriels.
4) Séparer les banques de dépôt des banques spéculatives. Interdiction d’émission d’ETF sans lien avec la réalité et du trading à haute fréquence, de monétiser la dette des autres comme tous les produits dérivés à plus de deux niveaux, de procéder à des augmentations de capital sans aucune contrepartie réelle. Bref, assainir totalement le monde irresponsable de la finance.
5) Limiter la taille des fortunes et des grandes entreprises, démanteler les empires financiers et industriels, afin de relocaliser les productions, empêcher la corruption à grande échelle y compris sur des États plus petit ou plus faibles, et cesser le vampirisme et le dumping international des plus gros envers les plus petits.
6) Interdire aux fonctionnaires d’être élus s’ils se présentent à des élections sans démissionner au préalable. Et ce de manière irrévocable, sans retour arrière possible.
7) Simplifier considérablement les normes et les procédures, notamment en matière d’emploi et de création/gestion d’entreprise, de production. La mise en place d’un contrat de travail unique.
8) La réunification des régimes de retraite et de protection sociale pour tout le monde, sans exception.
9) La renationalisation de certaines entreprises stratégiques sous forme de capital mixte (51/49), comme celles de l’énergie, de la santé, des télécoms, des transports publics.
10) L’introduction du principe de la « dette odieuse » dans le marbre de la constitution et de la loi, de manière à ce que des dettes contractées par d’autres ne puissent plus être assumées par les successeurs si elles sont démontrées illégitimes.
11) Vote obligatoire, introduction de la proportionnelle intégrale jusqu’au élections départementales, puis par collège électoral jusqu’au sommet de l’Etat, avec prise en compte des blancs et des nuls.
12) Interdiction aux entreprises d’importer ce qui est déjà ou peut être produit en France, même à un cout supérieur. A eux d’aider ces entreprises à être plus compétitives et/ou à faire en sorte d’avoir des circuits courts pour arrêter ces importations irresponsables dont le cout de transport représente parfois jusqu’à 50% du prix de revient.
13) Mise en place de tribunaux populaires pour les affaires de corruption, ainsi que l’accès à tous les comptes de l’Etat pour tous les citoyens. Les élus devront justifier de toutes leurs dépenses.
14) Retour du service militaire, avec renationalisation de toutes les entreprises qui travaillent pour l’armée. Tous les brevets à usage militaire appartiendront dès lors à l’Etat.
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Cerise sur la gâteau, et pour encaisser le choc, le plafonnement des salaires selon des barèmes nationaux, avec un minima et un maxima, qui permette de vivre « décemment » en fonction de ses qualifications et diplômes avec la mise en place immédiate d’un système de validation des acquis de l’expérience sanctionnée par un diplôme, et une réévaluation annuelle de ces qualifications. Ceux qui voudront gagner plus auront le droit par la loi de racheter des parts de leur entreprise à concurrence de 49% et proportionnellement au nombre d’employés, capital qui leur sera exclusivement réservé. Ce ne sont que quelques idées fort simples et de bon sens parmi tant d’autres !
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On peut le faire et il ne tient qu’à vous de l’exiger !

« O delamarche » a très bien résumer les choses : quand on a plus d’argent, on fait la pute!

Le premier à être allé faire la pute aux émirats c’est … Jacques Attali en 1983 …

Mitterrand l’a envoyé en catastrophe et en secret faire un prêt aux émirats car la France était ruinée après 3 années de dépenses frénétiques socialistes …

Notre futurologue maison donneur de leçon , qui souhaite que la capitale du monde soit Jérusalem , est parti faire la manche chez les dictateurs sanguinaires du golfe persique.

On connait la suite : arrivée en masse de l’argent de ces dictatures chez nous , corruption de 80% des politiciens français , noyautage des banlieues par cet argent sale , vente à la découpe de nos fleurons nationaux ( hôtels de luxe , parts de grands groupes français , châteaux etc etc … ) à ces dictatures.

Une chose est certaine Delamarche n’est pas un fonctionnaire, par contre comme tout entrepreneur il peut écrire un roman fleuve dont le titre serait  » taxes et normes, l’enfer sur terre de France « , enfin ce qu’il en reste..

Et après quank on fait la manche au qatar et à l’arabie saoudite, il ne faut pas s’étonner de voir la montée de l’islam partout en europe, et que nos dirigeants ne cessent de taper sur le christianisme qui n’est plus jamais mis en avant en tant que valeur religieuse dans notre civilisation occidentale ! incroyable ! nous aurons quand même le droit d’avoir des crèches dans les mairies ! mais à quel titre ? Au titre du folklore culturel ?

Bien que néophyte en éco, je ne crois pas un seul instant que le programme Fillon va arranger quoi que ce soit. Aucun programme d’austérité à ma connaissance n’a pu relever un pays, s’il ne s’accompagne pas par ailleurs d’un véritable programme politique novateur. Ce qui est à l’évidence pas le cas.

Il semble au contraire que cela entretient une société de low-cost où tout est tiré vers le bas, surtout le niveau de vie des citoyens et leur espérance en un des jours meilleurs.

Pour casser le service public et la sécu, ils sont très forts, mais quand il s’agit de remettre en cause l’UE et l’euro, d’aller chercher au moins un partie des 80 milliards de fuite fiscale, il n’y a plus personne. Avec une telle somme, plus de problèmes de sécu, de remboursement de dette pourtant.

Bien sûr, ce que je dis est simpliste, voire utopiste. Mais il semble que ce soit tout de même une réalité. Non ?

Ferme ta gueule !

Saint Marc