C’était en novembre 2019, et j’avais vu passer une information et un article de 20 Minutes un peu provacateur sur les collapsologues et ironique envers tous les pessimistes immédiatement taxés de fin-du-mondistes.Le journal 20 Minutes était allé demander aux services du Premier ministre quels étaient nos plans pour la fin du monde.
La réponse ? Nous n’avons pas de plan en cas de fin du monde…
« Je vous informe que nous n’avons pas de plan pour la fin du monde à Matignon ». Notre échange avec le service communication d’Edouard Philippe peut paraître loufoque mais à l’heure où les théories de l’effondrement prennent de plus en plus de place dans le débat public, la question se pose. Les scénarios catastrophes – mais très réalistes – de la collapsologie s’invitent même de plus en plus souvent dans les œuvres de fiction depuis quelques mois.
Puis, arriva le coronavirus…Ce virus, cette épidémie n’était pas la fin du monde.Loin de là même.Une crise importante.Très importante même.Cette épidémie qui a frappé notre pays a montré à quel point les services du Premier ministre avaient raison.
A Matignon, il n’y avait effectivement pas de plan pour un gros problème.
Nous n’étions pas préparés.
Nous dormions.
Dans l’illusion du confort et d’une fiction de sécurité éternelle.
Diriger c’est prévoir.
Manifestement il y a eu quelques manques cruels dans l’absence de prévision.
Egon Von Greyerz: “L’effondrement mondial est sur le point de s’accélérer” Greyerz: Les gens doivent maintenant se préparer à un effondrement économique mondial massif
Se moquer, tourner en dérision de véritables problématiques sécuritaires collectives, est stupide.
Il faut réhabiliter la culture de la prévoyance dans notre pays.
Difficile dans un pays qui taxe à 60 % la création de richesse et qui ne pense que par l’assistanat, l’encadrement des masses, l’endoctrinement à l’école, le contrôle social et le versement de subventions à tout plein de machins totalement inutiles qui n’existeraient jamais sur fonds propres.
Charles SANNAT
Source: insolentiae – Voir les précédentes interventions de Charles Sannat
Il a vraiment un regard de possédé ce Philippe.
Chacun de ces ultra-riches a sans doute un plan de repli familial dans l’une des îles paradisiaques où ils se sont déjà fait construire une villa de rêve fortifiée comme une citadelle avec un abri anti-atomique comme pour les immeubles genevois et israéliens . Il existe déjà des quartiers fortifiés en Floride ou en Californie où se rassemblent les villas de grand luxe . Le sort du peuple ne préoccupe pas ces grands seigneurs .
Ecoute Gael Giraud et un peu plus vieux les articles sur ce sites : les lieux privilégiés ; Suède & nouvelle zélande !
Je ne peux pas croire qu’ils soient aussi nuls, ils font les conneries volontairement, ce qui est moins pardonnable.
Encore faudrait-il qu’ils aient un plan qui Marche, pour quoique ce soit?
Ils devraient s’appeller, la république qui marche de travers.
C’est à se demander dans quoi ils ont du talent?
C’est la conséquence d’une génération qui n’a jamais connue aucune crise grave, aucune guerre sur le territoire.
La dernière « crise » datant de 70 ans.
Pourtant l’état demande aux maires de faire des Plans de Risques sur tout ce qui pourrait arriver sur leur commune : inondations, industriels, chimiques, etc. Et eux rien. Risques financiers, pandémiques , rien. Mais où passe notre pognon de dingue ?
Sa barbe pourrait bien pousser un petit peu plus, une fois derrière les barreaux.
oui si on fouille sur le dossier uranium avec Anne Lauvergeon : effectivement on pourrait en mettre du beaux linge en taule ! (Dont M Edouard Philippe!)
Le Covid a du bon!
SI, si, il y a forcement un sale plan comme chez Aréva
Ces gens là son farcis de casseroles et s’auto-amnistient entre eux depuis des décennies.
Il faudrait vraiment une révolution pour que ça change et qu’ils payent pour leurs abus et trahisons.
Oui oui, on s’en rend compte
le fond de la question est de savoir si une technocrate ou une bourgeoise ou un aristocrate (au mauvais sens du terme soit le sens Moderne et non celui du Moyen-Âge) seraient aptes à changer. La réponse est de toute évidence non. Du côté populaire je suis plus optimiste avec pour preuve le statut d’auto-entrepreneur qui avait eu un succès fulgurant avant de se faire zigouiller par les technocrates sur pression des bourgeois établis selon l’ancien modèle qui les dépouillent en taxe quotidiennement, mais le bourgeois se chie littéralement dessus à l’idée du changement qui pourrait abolir ses petits privilèges qui lui coûtent chaque jour plus cher, stress que lui épargne l’aristocrate et le technocrate contre une petite livre de chaire supplémentaire.