Un nouveau rapport absolument hallucinant de Zillow publié ce mois-ci estime que 2,7 millions d’adultes américains sont retournés vivre chez un parent ou un grand-parent en mars et avril dernier, alors que le confinement lié au coronavirus a complètement foudroyé l’économie américaine.
L’analyse de Zillow montre que 32 millions d’adultes américaines vivaient déjà avec un parent ou un grand-parent en avril, soit environ 10% de la population totale qui vit carrément dans le sous-sol de leurs parents, et c’est le pourcentage le plus élevé jamais enregistré.
Parmi ceux qui sont retournés vivre dans leur famille en mars et en avril, on a compté 2,2 millions de jeunes américains sans emploi et faisant partie de la génération Y:
Les situations professionnelles comme de vie parmi cette classe d’âge sont généralement les plus instables et ce, même en temps normal, et l’incertitude supplémentaire liée à la pandémie et aux perspectives d’emploi rend ce groupe encore plus vulnérable et extrêmement dépendant des soubresauts économiques et également du marché du logement. Normalement, les conditions de vie de la tranche d’âge 18 – 25 ans sont intimement liées aux emplois saisonniers (selon les modalités des Universités / ou du travail saisonnier) avec une part plus restreinte qui retourne vivre plus souvent chez les parents entre le printemps et l’été: généralement, 53% à 55% de ces jeunes adultes vivent chez leurs parents en avril contre 55% à 57% en juillet. Mais en avril, cette part a atteint 61%, un niveau sans précédent.
Mais ce qui est inquiétant, ce sont les étudiants qui sont rentrés chez eux après la fermeture des campus universitaires ce printemps, et c’est ce qui explique sans aucun doute cette envolée inédite, ces jeunes adultes ont tous été renvoyés chez eux étant donné la disparition des petits jobs en raison du coronavirus. Le nombre de jeunes adultes salariés (âgés de 18 à 25 ans) a diminué de plus de 25%, soit 5,9 millions de jeunes en mars et en avril. Environ 60% de ces employés qui sont devenus des chômeurs au cours de ces derniers mois ont continué à chercher du travail, mais plus de 2 millions étaient officiellement considérés comme n’étant plus sur le marché de l’emploi. Et tandis que les jeunes ont été récemment mis au chômage, ils sont rentrés chez eux à peu près à la même période (environ 60% d’entre eux vivent généralement avec leurs parents), mais cette fois-ci, le nombre total de ces jeunes est encore plus élevé que jamais.
Il n’y a pas seulement les jeunes américains sans emploi qui retournent vivre chez leurs parents. Avant la pandémie, près de la moitié (46%) des jeunes adultes salariés vivaient déjà au domicile d’un parent; en avril, la part était passée à 49%. Ceux qui ont cessé de chercher du travail ou qui n’étaient pas encore sur le marché du travail, il s’agit là, en grande partie de jeunes étudiants, étaient encore plus susceptibles de rentrer chez eux, ce qui rajoute un million supplémentaire de jeunes adultes (nomades qui passent leur temps à déménager entre le lieu où ils travaillent et le domicile familiale), d’après Zillow.
La grande migration du retour chez papa maman, et plus précisément, vers le sous-sol de chez leurs parents, a été un casse-tête majeur pour les propriétaires qui doivent désormais faire face à une perte de loyer. Zillow a déclaré que la génération Zers (habituée au numérique – les trentenaires), qui est rentrée chez les parents en mars et en avril, représentait une perte de revenu locatifs correspondant à 726 millions de dollars par mois.
Le New York Times a utilisé les données de Zillow pour montrer les pertes du marché locatif par zone géographique en raison du retour forcé des habitants lors de la pandémie.
La tendance de la génération Y fauchée qui retourne vivre chez leurs parents avait commencé bien avant la pandémie, mais s’est multipliée depuis le krach économique.
Au fil du temps – nous avons noté la croissance de la classe de la génération Y qui vit dans les sous-sols parentaux:
- Nombre des jeunes de la génération Y qui vit encore dans les sous-sols de leurs parents; (en raison des divorces).
- Cette génération de fauchés, qui vit dans les sous-sols de leurs parents, et qui n’ont aucune épargne: voici comment ils dépensent leur argent
Sans aucune reprise économique à l’horizon, peut-être même pas avant 2023 – attendez-vous à voir encore davantage d’adultes retourner vivre dans leur famille. Cela aura de graves répercussions sur l’économie – car la consommation ralentira – et le secteur de la location immobilière va s’effondrer. L’effondrement socio-économique de ce pays entraînera des années de croissance très lentes et un niveau de chômage extrêmement élevé.
Les Tanguy américains n’ont jamais été aussi nombreux depuis la Grande dépression des années 30 Gerald Celente: « La Plus Grande Dépression de tous les temps vient de commencer !… Croyez-moi, le remède à cette pandémie sera pire que la maladie elle-même »
Source: zerohedge
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et les parents qui reviennent des ephad pour ne pas mourir dedans ???
les tangos !!!! lol
ALLO PAPA TANGO CHARLY
Si on a de la famille c’est mieux que la rue… Comme avant les grandes familles…
Je retournerais bien chez ma mère… mais elle est en HEPAD!
Et j’ai 71 ans… ça va peut être pas tarder?
Comme moi en ce moment.
ils sont fauchés les amerlock et c est tant mieux
Pas de larme;qu’ils retournent à l’école!…
Les excuses sont des échappatoires. Elles ne vous empêchent pas de réussir : elles vous empêchent d’assumer vos responsabilités. Elles vous permettent de tenir les reproches loin de vous.
C’est aussi ce qui arrive en France. Moins de travail, 6 mois de travail au lieu de 4 pour toucher les alloc chômage, saisonniers… sans saison, on rentre chez « les vieux ». Covoiturage, colocataires par manque d’argent. Aux USA, vous ajoutez les dettes étudiantes, automobiles et on comprend que plus on est nombreux sous un même toit, moins on dépense..
C’est même pire en France. Malheureusement, une partie de la jeunesse (pas la majorité heureusement) est mal éduquée, rétive à l’effort, incapable de s’assumer, revendiquant tout avant même d’avoir créé quoi que ce soit, sans repère et crachant dans la soupe en étant perméable aux idéologies les plus stupides. Cette jeunesse est à la fois victime et responsable de son sort, en chérissant les causes qui font son malheur. Vae victis !
Je connais un jeune qui voulait mettre fin à ses jours pour devinez quoi ?
Quelques kilos en trop….
Comme vous le dites, les jeunes ont été couvé et ne savent même pas ce qu’est la souffrance, la vraie, faut être con pour vouloir se foutre en l’air pour juste 15 kilos en trop, suffit d’arrêter de bouffer comme quatre et de jouer à ces jeux vidéo débiles, j’avais bien envie de lui dire, mais je m’en fout, c’est pas mon gosse, les parents subiront bien plus cette non éducation avec ce gosse en vie que mort.
Ils vont en chier à l’avenir, et j’ose le dire, je n’en raterais pas une miette, car ce sont les mêmes qui se foutent de ma gueule depuis 12 ans maintenant, avec leur suffisance et cécité, et leur manière de vivre au jour le jour, ils auront cette fois de vrais raisons de vouloir en finir.
Bien dit !
« rétive à l’effort » ; c’est exactement ça !
Quand je pense que j’ai commencé avec rien aucune aide, un matelas posé au sol…
Cette jeunesse me désespère, chialeuse, pitoyable, sans motivation et comme vous le dites, sans aucun gout de l’effort.
Ils feraient mieux de se mettre à bosser car l’avenir s’annonce sombre et ils en patieront bien plus que ceux qui ont choisi la voie du travail.
Eux, veulent être fonctionnaires, s’inventent une vis de PDG sur les réseaux sociaux avant de mettre les pieds sous la table chez papa et amamn.
Cette jeunesse te desespere?
Ta connerie me desespere á un niveau bien supérieur
Donc par deduction moins on en les moyens
bof pas nouveaux……….de même en Europe ! ! !