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vendredi, mai 17, 2024

Egon Von Greyerz: « La plus grande crise de notre histoire approche à grand pas, et personne ne semble s’en soucier »

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Selon Investopedia, « le risque désigne la possibilité d’avoir un rendement réel des placements différent du rendement espéré. Le risque inclut la possibilité de perdre une partie ou l’intégralité de l’investissement original ».

Cela résume tout. Le risque signifie que vous pourriez perdre une partie ou l’intégralité de votre investissement. Normalement, les valorisations tiennent compte du risque. Mais les risques suivants sont-ils bien évalués ?

Un monde très risqué

Guerres

  • Corée du nord – Corée du sud – États-Unis – Japon – Chine – Russie, guerre nucléaire ?
  • Ukraine – États-Unis – Russie
  • Syrie – Israël – États-Unis – ISIS – Al-Qaeda – Arabie saoudite, Yemen – Iran, Irak etc.
  • Chine – Inde – Pakistan – Afghanistan – États-Unis
  • Plusieurs autres

Guerre civile et terrorisme

  • Dans la plupart des pays, y compris les États-Unis et l’Europe

Risques économiques

  • Dette mondiale de 230 000 milliards $ — qui ne sera jamais remboursée, ni ne pourra être financée lorsque les taux se normaliseront
  • Passifs non capitalisés de 250 000 milliards $ — ne seront jamais honorés
  • Bilan des banques centrales à 20 000 milliards $ – toutes insolvables
  • Les États-Unis sont insolvables – ils s’appuient sur un dollar surévalué et leur armée
  • L’explosion de la dette de la Chine, de 2 000 milliards $ à 40 000 milliards $, depuis 2000 – une bulle massive
  • La plupart des pays industrialisés et émergents survivent grâce à l’assouplissement quantitatif (QE) – c’est insoutenable
  • Le système de papier-monnaie – les devises se dirigent vers zéro

Risques financiers

  • Marchés mondiaux des dérivés de 1,5 quadrillion $ – ils imploseront tous lorsque les contreparties feront défaut
  • Système bancaire européen en faillite – ne survivra probablement pas
  • Système bancaire mondial sous effet de levier de 20 à 50
  • Des bulles dans la plupart des classes d’actifs – actions, obligations, immobilier

Risques politiques

  • Le président des États-Unis est « canard boiteux » – risque d’actions irrationnelles ou pas d’actions du tout
  • L’élite européenne – non élue et non redevable – détruit l’Europe
  • Tendance à la mondialisation et au socialisme – très dangereux pour la stabilité mondiale

Cette liste des risques n’est certainement pas exhaustive.

Pour résumer en une phrase : Le monde fait face à des risques de guerres (nucléaires) majeures, d’effondrement économique et financier, ainsi qu’à des révoltes politiques et sociales. Si un seul de ces risques venait à se réaliser, cela suffirait à changer le monde pour longtemps. Nous vivons dans un monde complètement interconnecté, et le danger réside dans l’effet domino, qui déclenchera un événement après l’autre, jusqu’à ce que ces risques deviennent réalité.

Mais le monde se croit entièrement à l’abri des risques. Ces risques ne sont pas intégrés dans la valorisation des marchés financiers. S’ils l’étaient, nous n’aurions pas de tels sommets historiques et de telles surévaluations dans les actions, obligations et l’immobilier. Les banques centrales ont réussi leurs expériences pendant si longtemps que les marchés ignorent totalement le risque. Il semble que l’impression monétaire illimitée, l’expansion du crédit, la manipulation des taux d’intérêt et la dévaluation des devises soient la solution durable pour un monde vivant au-dessus de ses moyens. Mais, pour berner les gens, il faut aussi manipuler l’information, et c’est là que les fake news entrent en scène. Il faut constamment manipuler les données financières et économiques, et changer la base des calculs.

Un nouveau paradigme, ou la plus grande crise de l’histoire

La plus grande crise de notre histoire approche à grand pas, et personne ne s’en soucie outre mesure. Si les participants au marché assimilaient le risque, ils se seraient déjà retranchés dans des bunkers (suisses, de préférence). Mais au lieu de cela, ils continuent d’acheter les actions surévaluées du secteur des technologies, de l’immobilier, des crypto-devises et d’autres actifs, tous surévalués massivement. Ils subiront bientôt le choc de leur vie.

Mais cette folie spéculative est souvent la norme à la fin d’une ère de bulles. Tout juste avant le krach de 1929 et la dépression de 1930, l’optimisme était à un sommet et les participants au marché, ainsi que les politiciens, étaient certains qu’il s’agissait d’un nouveau paradigme qui durerait pour toujours.

Les marchés des devises nous révèlent la vérité

Tandis que la plupart des marchés financiers ne s’inquiètent pas du risque, le marché des devises, lui, reflète vraiment la manière dont le monde voit l’économie américaine, ses marchés et, aussi, sa situation politique.

Il est très difficile de manipuler le FOREX. Avec un volume mondial quotidien de plus de 5 000 milliards $, aucune banque centrale ne peut faire bouger ce marché toute seule. Une manipulation concertée des banques centrales a déjà fonctionné auparavant, mais la coopération est chose du passé. Aujourd’hui, tous les pays souhaitent dévaluer leur devise. C’est pourquoi nous voyons constamment des dévaluations compétitives, dans une course vers le bas. Ces cent dernières années, toutes les devises ont perdu 95-97% de leur pouvoir d’achat. La descente finale vers zéro se fera probablement dans les cinq à huit prochaines années. Cela représente, en réalité, une perte de 100% à partir d’aujourd’hui.

La plupart des Américains ne se soucient pas de la valeur de leur monnaie. Ils ne savent pas que, par exemple, s’ils avaient visité la Suisse en 1971, ils auraient obtenu 4,3 francs suisses pour un dollar. Aujourd’hui, ils n’en obtiennent que 0,95. Soit une perte de pouvoir d’achat par rapport au franc suisse de 80% depuis que Nixon a mis fin à l’étalon-or. Les mouvements des devises révèlent la (mauvaise) gestion économique d’un pays. La perte constante de valeur du dollar par rapport à la plupart des autres devises, ces dernières décennies, indique clairement que les États-Unis se dirigent vers la faillite. Les jours du dollar en tant que devise mondiale sont comptés. Le monde n’a pas besoin d’une devise de réserve, et encore moins d’une devise en déclin chronique à cause d’une mauvaise gestion économique. Les jours du pétrodollar arrivent à leur fin. La Chine et la Russie surveillent cela de près.

Il y a très peu de respect en Europe ou en Asie pour la situation politique actuelle des États-Unis. Encore moins pour leur situation économique et leur devise. Juste après l’élection de Trump, le dollar a réagi en direction opposée des marchés américains. Le dollar a atteint un sommet en décembre 2016, et est maintenant en déclin par rapport à toutes les devises. Par exemple, l’indice du dollar a décliné de 12% en 2017.

Union européenne et euro: Une expérience ratée

L’euro a grimpé de 16%, par rapport au dollar, au cours des neuf derniers mois. L’euro est la devise d’une expérience politique ratée. L’idée d’une seule devise pour tous était vouée à l’échec, avant même d’être lancée. Comment la Grèce ou le Portugal peuvent-ils utiliser la même devise que l’Allemagne ? Les Allemands, si efficaces, avec leur base industrielle forte, ont énormément bénéficié d’un euro relativement faible, tandis que plusieurs pays méditerranéens inefficaces se sont endettés et sont devenus moins compétitifs, à cause d’une devise trop forte. Malgré les problèmes dans la zone euro, l’euro a superformé le dollar en 2017, de 16%. Comme nous savons, il n’existe pas de valeur absolue pour une devise. Elles sont pratiquement toutes sans valeur, et sont uniquement adossées à de la dette. Mais c’est un jeu relatif. Relativement, la devise de réserve mondiale, le dollar, perd rapidement de la valeur par rapport à la construction artificielle que l’on appelle euro. L’euro, bien que condamné depuis plusieurs années, est en train remporter sa bataille contre le dollar.

L’empire américain s’effondre

Quels sont les avantages du dollar ? Les États-Unis sont le plus grand empire financier au monde, et le dollar était désiré par la plupart des personnes dans le monde pendant plusieurs décennies. Comme avec tous les empires, la domination américaine est en train de s’effondrer, et le dollar aussi. La force du dollar était basée sur le fait que les États-Unis étaient la plus puissante nation industrielle au monde, avec peu de dettes et un excédent de la balance des paiements. Mais cela a changé progressivement, à partir du début des années 1960, alors que les États-Unis ne pouvaient joindre les deux bouts. Depuis, la dette des États-Unis a grimpé chaque année, pendant 56 ans. Les États-Unis ont enregistré un déficit commercial chaque année, au cours des 45 dernières années. Comme le dollar était attaqué au début des années 1970, Nixon prit la décision fatale de ne plus adosser le dollar sur rien. Lorsque l’or, le 15 août, cessa d’être l’adossement du dollar et du système monétaire mondial, peu de gens réalisèrent les effets désastreux que cette décision allait avoir sur le monde. Depuis, la dette mondiale a grimpé de façon exponentielle, et la plupart des devises ont décliné de 70-80% en termes réels.

Les rendements des placements aux Etats-Unis sont insuffisants

2017 est une année où plusieurs investisseurs américains ont perdu de l’argent, ainsi que du pouvoir d’achat. Comment cela est-il possible, alors que la plupart des investissements ont été forts, mesurés en dollars ? Les Américains s’inquiètent rarement de ce qu’il arrive à leur devise, puisqu’ils mesurent leur richesse en dollars. Mais sur la base du pouvoir d’achat international, les investisseurs en dollar sont perdants en 2017. Le graphique ci-dessous nous montre que le Dow Jones a décliné de 10%, en euros, depuis mars 2017.

La bulle gonflera-t-elle encore ?

Étant donné que nous en sommes à la fin d’un cycle majeur, les bulles ont tendance à croître plus que nous ne l’aurions cru. C’est pourquoi nous pourrions voir les actions boursières continuer à monter pendant quelques mois, et les marchés de crédit continuer à ignorer le risque. Mais très peu d’investisseurs se sont enrichis en conservant leurs actions jusqu’à la toute fin d’un marché haussier majeur. Il n’y a qu’à regarder le NASDAQ à la fin des années 1990. Il a été multiplié par cinq entre 1996 et le début de 2001, et a ensuite perdu 80%. Plusieurs actions sur le NASDAQ perdirent 100%. Entre 2009 et 2017, le NASDAQ a encore été multiplié par cinq. La plupart des principales valeurs du NASDAQ se négocient maintenant à des niveaux stratosphériques. Il serait surprenant de voir une correction de seulement 80%, cette fois-ci. Il est plus probable qu’elle soit de l’ordre de 90-95% dans les années à venir.

Quel que soit le catalyseur qui déclenchera la prochaine crise, nous ne le saurons qu’après coup. Ce qui est certain est qu’il y en aura un. Quand, évidemment, est une grande question. Est-ce que cette bulle prendra encore de l’ampleur, ou bien commencera-t-elle à imploser cet automne ? Personne ne connaît la réponse. Nous savons juste que faisons face à des risques sans précédent. Ces risques sont aussi incommensurables.

La prochaine crise financière sera plus grave qu’en 2006-2009. Nous savons aussi que les outils utilisés auparavant par les banques centrales ne fonctionneront probablement plus. L’impression monétaire n’a plus d’effet pour stimuler l’économie; elle ne fait que créer des bulles d’actifs. L’arme des taux d’intérêt n’existe plus. En 2006, les taux d’intérêt à travers le monde se situaient autour de 5-6%. Aujourd’hui, il y a plus de vingt pays avec des taux négatifs, et les autres sont légèrement supérieurs à zéro. Cela n’empêchera pas les banques centrales de se lancer dans une ronde finale d’impression monétaire illimitée, menant à l’hyperinflation et au dernier mouvement des devises vers zéro. La destruction d’actifs et de richesse sera catastrophique. En termes réels, la plupart des actifs déclineront de 75-99%.

La plupart des investisseurs n’écouteront pas cet avertissement et ne sortiront pas des marchés avant d’avoir perdu presque tout leur argent. Même pour ceux qui considèrent ces prédictions comme alarmistes, ne serait-il pas sage de se doter d’une forme d’assurance ? S’il y avait un risque élevé d’incendie ou d’inondation, la plupart des gens assureraient leur maison, s’ils le pouvaient. Alors, pourquoi si peu de gens s’assurent contre les risques financiers ? Certainement parce qu’ils ne les voient pas.

Achetez une assurance contre le risque pendant que c’est abordable

Même si les investisseurs ne voient aucun de ces risques se matérialiser, cela ne vaudrait-il pas la peine, tout de même, de se doter d’une forme d’assurance ? L’assurance financière conventionnelle ne fonctionnera pas, si l’on regarde le risque systémique. Les puts, les swaps et autres instruments dérivés ne paieront probablement pas, à cause des défauts des contreparties. La meilleure assurance sont les actifs tangibles. Les terres agricoles et les bâtiments ont survécu à la plupart des catastrophes, à condition qu’ils n’aient pas été grevés. Le problème avec le marché immobilier est que, dans la plupart des pays, il est énormément surévalué.

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Les meilleurs actifs tangibles sont l’or et l’argent physique, détenus hors du système bancaire. Comme démontré dans mon article de la semaine dernière, l’or a repris sa tendance haussière vers de nouveaux sommets, après une longue correction. Même chose pour l’argent. L’argent a cassé sa tendance baissière de cinq ans en 2016. Comme le démontre le graphique ci-dessous, l’argent est sorti de sa correction d’un an et est maintenant prêt à grimper de manière explosive.

Si les bulles continuent de grossir, le risque d’implosion augmentera aussi. Le risque atteint des proportions énormes à l’échelle mondiale. Si les marchés continuent de défier la réalité, il devient encore plus essentiel de se procurer une assurance.

Pour les investisseurs qui ne détiennent pas encore de métaux précieux, le moment est idéal pour acheter de l’or ou de l’argent physique. Lorsque vous achetez une assurance, vous devez en avoir assez pour protéger d’autres actifs et vivre confortablement de votre assurance. Je sais, évidemment, que les investisseurs ne sont pas tous dans une position confortable. Mais, que vous achetiez quelques onces ou quelques tonnes d’or, il est absolument essentiel de se couvrir. Quel pourcentage des actifs financiers devrait être alloué à l’or ou à l’argent ? Cela pourrait être moins de 5% ou plus de 50%, selon la situation de l’investisseur. Selon nous, 20-25% est un minimum.

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Pour tous les investisseurs, détenir une couverture d’assurance sous la forme d’or et d’argent, contre ce qui est sans doute la situation la plus risquée de l’histoire, s’avérera une décision extrêmement sage.

Il s’agit d’une situation vraiment unique. Rarement un actif de préservation du patrimoine n’a eu un tel potentiel de plus-value du capital. Ne traînez pas – il y a trop de risques.

Source: goldbrokerGoldBroker.fr tous droits réservésVoir les Précédentes interventions d’E.V Greyerz


Egon Von Greyerz: « Les raisons d’investir dans l’or et l’argent physique »

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27 Commentaires

  1. pourquoi s’en soucier? vous autres occidentaux vous ne voyez que l’argent dans la vie, En Afrique, on a connu que la crise depuis des siècles à cause de vous, votre livre qu’on appel la Bible dit = Ne vous inquiétez donc point du lendemain, A chaque jour suffit sa peine, Mt 6 = 25 – 34 vous ne lisez pas ça vous même?

  2. Mais si tes métaux sont dans des coffres privés, il y a aussi risques puisque c’est entreprise te doit tes métaux donc ce sera une dette qui ne sera certainement pas payée non plus.

  3. Personne ne peut prédire l’avenir.
    Vivre dans l’attente de la catastrophe finale n’a aucun sens.
    Je crois sage d’assurer un minimum ses arrières : de la nourriture, une ou des armes et des munitions, et un lieu de retrait à la campagne.
    Une fois le minimum assuré, on met en sourdine l’esprit survivaliste, et on vit, tout simplement.
    On vit en se posant les vraies questions quant au sens de notre vie.
    Je viens pour ma part de faire le choix de passer à un 4/5e de temps.
    Je vais bosser 4 jours sur 7 au lieu de 5 et perdre 20% de mon salaire (je perdrai moins au final puisque je paierai du coup moins d’impôts).
    Et je ne reviendrai pas en arrière, au contraire.
    Je vais désormais disposer de weekends de 3 jours.
    3 jours pour vivre, me balader en forêt avec mon chien, consacrer plus de temps à ma recherche spirituelle, passer du temps avec les gens que j’aime, bref, donner du sens à ma vie, à la vie.
    Passer sa vie au boulot (ou devant la télé) jusqu’à 62 ans (quand on ne meurt pas avant), ça n’a juste aucun sens.

  4. Ah cher Egon,
    Tu as toujours cette facette de nous décrire avec aisance la plus grande crise de notre histoire que le monde va bientôt subir. Seulement, ça fait combien d’année tu nous répètes les mêmes rengaines? Ne t’en fait pas, oui, il va y avoir un crash boursier un jour, mais quand? Seul Dieu le sait et le Diable sent d’outre. Ne sais-tu pas, qu’il n’y a plus aucunes analyses ou rapports financiers qui tiennent la route de nos jours? On c’est tous que tous les rapports, analyses et articles financiers sont bafoués, qu’un ramassis de tissus de mensonge, nourrie par des escrocs sans scrupule, transmit par de faux économises ou journalises financiers. Tout ce que je peux te dire mon ami, ça fait plus de 2 ans que ma liquidité dort confortablement d’un profond sommeil en attente de voir l’or s’épanouir, cet or tellement chérie à tes yeux. Par contre, je doute de ta franchise, pourquoi, fais-tu autant d’effort à nous dire petit investisseur d’acheter de l’Or quand les gros de ce monde le vendent? Un peu intrigant n’est-ce pas? Pourquoi pas approchez Goldman Sachs ou JP Morgan ou la Deutsche Bank ou Morgan Stanley etc…C’est la raison de ma méfiance de tes écrits et de tes recommandations de se procurer de l’or physique et des titres aurifères et argentifères. Toutes ces grosses banques ne semblent pas être très motivées aux achats, ni aux des titres aurifères et argentifères ainsi attiré par le beau métal jaune (OR). Eh bien sûr, j’entends avec impatience ce mouvement crédible de hausse appuyer avec un bon volume. Présentement, avec le revirement à la baisse du lingot d’Or, tout semble d’être encore une fausse hausse pour pincer encore une fois les pauvres petits investisseurs moins aguerris. Qui vont surement se faire dire par leurs vendeur, c’est bien d’avoir de l’or, dite cela à ceux qui ont payé 1900$/us once. Combien d’année vont-ils devoir patienter pour seulement récupérer leurs baisses. J’espère pour eux qui ne sont pas trop âgé et qui auront de temps pour garder un peu d’espoir ? Ça s’est les effets de vos recommandation des pertes énormes pour les pauvres investisseurs.

  5. T’inquiètes papy Von-Gruyère les salops qui dirigent la finance internationale ne sont pas idiots … Ils sauront une nouvelle fois mettre leurs petites fesses au frais quand ça chauffera car ils ont tous double, triple où meme quatre nationalités en poche.
    Prenez cette famille de rat qui se fait appeler Rothschild elle a du sang plein les mains depuis des siècles mais elle a des lardons putatifs partout dans le monde.

  6. Pour ceux qui pensent que l’or protège, à voir sur youtube, un dessin animé de Walt Disney des années 30, »Le Roi Midas »
    L’important lors de la prochaine crise sera de manger et de ne pas se faire tuer! quand à l’épargne…

    • L’or et l’argent sont des moyens d’échanges. Et également une façon de protéger vos économies.
      Évidemment cela ne se mange pas, mais permettra de racheter un sac de survie. À vous de voir, mais je pense que dans votre sac, vous pouvez ajouter de l’or et l’argent physique.

  7. En réalité, la crise se termine.
    La crise c’est quand tu es obligé de te rendre à l’école alors que tu préfèrerais rester chez toi pour jouer au calme et apprendre ce que TU AS ENVIE D’APPRENDRE.
    La crise c’est quand tu dois exercer un job qui ne te plaît pas (et des collègues qui te pourrissent la vie).
    La crise c’est quand tu dois te lever TÔT le matin alors que ton corps te dit que c’est trop tôt et que tu dois dormir encore quelques heures.
    La crise c’est quand tu restes coincé dans des embouteillages ou sur le quai d’une gare ou d’un métro en attendant un train qui sera bondé ou qui te fera arriver en retard à ton boulot.
    La crise c’est quand tu dois payer des putains d’impôts alors que ton salaire ne te permets que de payer ton loyer et tes factures et ne te laisse pas les moyens de t’offrir un petit plaisir en extra.

    Ce samedi 23 septembre pourrait être le jour du début de l’enlèvement, c’est-à-dire la fin de l’esclavage car plus aucune obligation d’aller travailler ni d’aller à l’école (revenu de base universel pour toutes les personnes juridiques).

    Après, les magasins se vident etc. (un vrai désastre économique) mais pour cela il suffit de prendre ses précautions et de se prendre en charge, pour les autres qui en souffriront à cause de leur paresse, on s’en branle….

    • Le revenu universel j’y pensais aussi mais je doute que ça sera pour notre bien mais bien pour nous maintenir en laisse. Je me demande dans ce cas si on ne va pas encore dans les diverses catégories en désaquilibre Il y aurait ceux qui seront qu’au revenu universel donc un minimum pour vivre ceux qui travailleront encore et auront un peu plus, une catégorie de ceux qui auront preservés des economies avant le krach genre certains d’entres nous ici qui pourrait se retrouver un peu au dessus et toujours les tres tres riches au sommet. Scénario pas terrible en fin de compte.

  8. En tout cas ça permet de se déculpabiliser des gens qui vont souffrir plus que nous quand ça va arriver, j’ai prévenu le plus de gens possible, je ne vais plus me soucier désormais de ce qui va leur tomber dessus comme la perte de toutes leurs economies, j’ai suffisamment été moquée par ces personnes. J’espere juste qu’ils seront assez fort psychologiquement quand ils vont comprendre que j’avais raison.

    • Tu sais ça me derangerait même pas qu’il annoncent la planete X ou des ET au point où on en est. Par contre je ne sais pas si dans tes trucs conspis etant donné que je ne connais pas tout les multiples scenarios si il y a un truc scandaleux qui pourrait faire boule de neige, genre pedophilie ou autre (j’ai entendu parler du pizza gate moi aussi) parce que ça aussi ça pourrait amener à des bouleversements radicaux.

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